vendredi 11 mars 2016

Quand un président honore ses ennemis, il trahit son Peuple, par NOBELINE

TRIBUNE LIBRE
Le « président français », François Hollande, ne sait plus quoi faire pour réussir sa réélection en 2017. Aller jusqu'à trahir son Peuple pour parvenir à ses fins ne lui pose aucun problème.


LA RIVALITÉ MAROC-ALGÉRIE

En 2012, son premier voyage de président à l'étranger fut pour remercier Bouteflika de l'avoir grandement aidé à accéder au pouvoir. Il est reconnu que le vote des musulmans algériens (que l'on nomme franco-algériens, à tort, parce qu'ils sont plus Algériens que Français !) a pesé lourd de son côté sur la balance, d'autant qu'un différend entre Sarkozy et Bouteflika privait définitivement le président sortant des voix algériennes en France.
Donc, en 2012, après s'être rendu en Algérie pendant sa campagne et à peine élu, il s'en fut remercier « Boutef ».


Depuis les Régionales, Hollande est parti en campagne pour la présidentielle de 2017. Mais, en nommant des ministres marocaines  - TROIS ! - dans le gouvernement de Valls, il a froissé les dirigeants algériens qui se considèrent lésés. Et oui ! Les Algériens estiment que la France leur appartient. Ils ont un esprit de revanche exacerbé.
Que ce soit le Maroc, ennemi héréditaire des Algériens, qui se retrouve à gouverner en France, n'a pas été pour leur plaire, loin s'en faut.


Que pouvait donc faire Hollande pour réparer sa gaffe et s'assurer, ainsi, des prochains votes des algériens ?
Il a donc été décidé, dans les arcanes du pouvoir, que le président se fendrait d'un discours lors de sa participation aux commémorations du 19 mars 1962, au quai Branly à Paris.

LE 19 MARS 1962

Mais que représente cette date, pour vous, Français de France, si vous ne connaissez pas l'Histoire de l'Algérie Française ou si vous êtes trop jeunes pour en avoir, seulement, entendu parler ?
Néanmoins, nous ne doutons pas un instant que vous comprendrez très aisément ce qui va suivre parce que vous connaissez, maintenant, ce dont sont capables des terroristes musulmans et, de surcroît, de souche algérienne comme les Kouachi, Merah et autre Djamel Zitouni.
Nous allons donc vous dire ce que représente ce 19 mars 1962 pour la France, le plus succinctement possible pour ne pas être accusé d'incitation à la haine.


Un retour en arrière est nécessaire. Depuis 1954, les terroristes algériens commettent des attentats sur tout le territoire Français, principalement en Algérie. Terrorisme qu'ils avaient déjà tenté en mai 1945, alors que les soldats Français étaient encore au front mais qui fut vite réprimé.
Les gouvernements qui vont se succéder en France de 1954 jusqu'en 1958, vont s'attacher à défaire cette montée islamiste, révolutionnaire disaient-ils, appelez-la comme vous voudrez, la méthode a toujours été la même, hier comme aujourd'hui.


En 1958, lorsque le général De Gaulle est arrivé à Matignon, l'armée française avait réussi à stopper les massacres de Français civils et militaires. Les quelques chefs terroristes algériens, encore debout, se rendaient à la France.
C'était compter sans la détermination du nouveau chef du gouvernement de se défaire de l'Algérie.


Quelles qu'aient été ses raisons, quelle qu'ait été la légitimité de cet abandon, c'est la méthode utilisée par le président français que nous n'accepterons jamais parce qu'elle a été criminelle dès le 19 mars 1962.


Nous sommes donc dans les années 1958/1962. Après maints pourparlers secrets, depuis un an, avec les terroristes de la première heure, De Gaulle décide de proposer une « déclaration gouvernementale » franco-française, qu'il appellera plus tard « Accords d'Évian ». Dans cette déclaration, il propose aux terroristes de former un gouvernement provisoire algérien (GPRA) qui œuvrera, conjointement avec la France, à la destinée de l'Algérie indépendante.
Jusque-là, vous nous suivez.

LE FLN LUI-MÊME REFUSE LES ACCORDS D’ÉVIAN

Ces propositions ne conviennent pas au FLN qui refuse d'entériner le document. Donc, dans un  premier temps, nous dirons qu'il n'y a jamais eu « d'accords ».
Mais De Gaulle ira jusqu'au bout de sa décision, faisant croire au peuple Français que ce sont de vrais accords, les engageant même dans un referendum duquel les habitants de l'Algérie (dont 1 million de Français) ont été exclus. Les Français d'Algérie n'ont pas pu s'exprimer à ce referendum qui a eu lieu au mois d'avril 1962.
Donc, au soir du 18 mars 1962, il décide que sa proposition est acceptée par toutes les parties et la rend publique, le 19 mars 1962. Elle stipule un « cessez-le-feu » qui n'a été accepté que par la France et UN SEUL représentant de la partie algérienne.


Le FLN, qui n'a pas voulu accepter ces propositions, envoie un message à tous les moudjahidin de « l'armée de libération » dans et hors de l'Algérie, transmis par leurs chefs, disant que : « La rébellion est finie mais la guerre continue. » (document INA)


À partir du 19 mars 1962, la France ne gouverne plus en Algérie. Les autorités françaises passent les pouvoirs aux « autorités » algériennes. L'armée est rapatriée en France, les Harkis sont désarmés et les quelques militaires qui restent sont consignés sur les lieux stratégiques avec interdiction d'intervenir dans les trois départements français d'Algérie.

MAIS NOUS SOMMES ENCORE EN FRANCE !

Vous imaginez la liesse des Algériens (pas tous) mais, surtout, leur liberté de tuer, massacrer, égorger les européens. Les enlèvements vont se multiplier par mille. À l'heure actuelle, nombreux sont les militaires et civils que la France n'a même pas cherché à retrouver après cette date fatidique malgré les témoignages de la Croix Rouge Internationale.


Pendant toute cette période allant du 19 mars 1962 jusqu'à l'indépendance officielle de l'Algérie, il y a eu plus de morts européens, harkis et Algériens pro-français que pendant les huit années de terrorisme. Ce fait est reconnu par tous les historiens honnêtes.


Le 26 mars 1962, à Alger le massacre des européens dans la rue d'Isly restera dans les mémoires. Une semaine, seulement, après la « déclaration gouvernementale » de De Gaulle, une manifestation pacifique des pro-Algérie française, se transforme en une ignoble boucherie. Hommes, femmes, enfants sont fusillés alors qu'ils défilent avec, pour seules armes, des drapeaux tricolores.
Qui a tiré ? Nul n'est capable de dire exactement d'où sont venus les premiers tirs. Mais une compagnie de tirailleurs algériens, postée sur le parcours, est désignée par d'autres militaires présents à cette manifestation, comme responsable du mitraillage sur la foule.

À partir du 19 mars 1962, tout européen qui s'aventure dans les quartiers arabes est certain de ne pas en sortir vivant. Les commissariats, sont dirigés par des Algériens. Les employés français ne sont là que pour la forme. La chasse aux Français pro-Algérie française est ouverte. Ce 19 mars 1962 a sonné l'hallali.

Mais, nous ne le répèterons jamais assez, nous vivions en France !

De toute cette horreur, le point d'orgue fut atteint par le massacre de la population civile européenne à Oran, les 5, 6 et 7 juillet 1962.

Le président De Gaulle annonce, à la télévision française, le 3 Juillet 1962, que l'Algérie est devenue indépendante.


Les Algériens décidant que leur « D-Day » serait le 5 juillet, ils envahissent les rues d'Oran ce jour-là et tuent,  égorgent, enlèvent, brûlent les européens qui étaient encore au pays. À cette date, nous étions « chez » les Algériens. Mais, si les soi-disant accords avaient été respectés, il n'y aurait pas eu ces tueries et la France aurait dû nous protéger.


Or, depuis le 19 mars 1962, les Français ont été livrés, désarmés, à la vindicte des Algériens.

ENCORE UNE TRAHISON DE HOLLANDE

Le président de la République française, François Hollande, sait que le 19 mars 1962 est fêté en Algérie comme le Grand Jour de la Victoire.


Par sa présence aux côtés des Algériens, des communistes et autres indépendantistes, en ce jour néfaste pour la France et les Français, ce président bafoue la mémoire des civils et militaires qui ont perdu la vie pendant cette période d'après le 19 mars 1962 qui a livré les pro Français de toutes confessions, aux couteaux des égorgeurs.


Il n'a pas le droit, pour des objectifs purement électoralistes, de salir la mémoire des Patriotes, de souiller l'honneur des Français.
Bien entendu, pour tous ceux d'entre vous qui voudraient connaître plus précisément les conséquences de cette date, nous tenons à votre disposition le texte de la déclaration gouvernementale du 18 mars 1962, les preuves du nombre de tués ou enlevés, les charniers trouvés.
Tout ce qui fait que nous ne pouvons pas reconnaître - et nous ne reconnaitrons jamais - la date du 19 mars 1962 comme un jour à honorer.


La décadence

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