lundi 22 février 2016

Remigration maritime, par Alain de CHARENTE

TRIBUNE LIBRE
La remigration maritime : un concept très attractif qui devrait être envisagé par tous les États concernés par cette immigration sauvage souhaitée par les « élites » mais pas par les Peuples.



La Suède, comme tous les pays Européens victimes « consentantes » d'une immigration  invasion tsunamique est arrivée à saturation dans sa capacité d’accueil des migrants qui déferlent sur le vieux continent. Le nombre d'hébergements disponibles est désormais insuffisant pour absorber cette population qui ne tarit pas. Pour tenter de palier à cette situation devenue critique, les autorités ont envisagé une formule originale, inédite, celle qui consiste à réquisitionner un paquebot de croisière pour le transformer en hôtel flottant.

L'idée est particulièrement séduisante, mérite d'être creusée, et même mise en œuvre à grande échelle, mais malgré tout avec deux conditions qui devraient être imposées et non négociables.

1. La première qui devrait consister à ce que le navire ne reste pas amarré à quai dans le port mais prenne le grand large, cap au sud une fois pourvu de sa cargaison humaine estimée à environ 1000 passagers, effectif que l'on doit pouvoir au minimum doubler en misant sur la colocation des cabines et donc embarquer au moins 2000 croisiéristes. Pour un voyage en aller simple sur un trajet Oslo/Tripoli. Destination la plus proche et la plus sécurisée des pays d'où sont originaires les passagers, la Lybie étant devenue un paradis terrestre, une terre d'asile puisque débarrassée définitivement de son tyran dictateur grâce à l'initiative et l'intervention musclée de l'ancien président Nicolas Sarkozy, représentant de commerce en démocratie, épaulé de son talentueux conseiller militaire BHL.

Ce serait donc un voyage tous frais payés offert par la Suède à ces demandeurs d'asile qui ne sont pas les bienvenus et qui pourraient pouvoir réintégrer en toute sécurité le continent Africain qu'ils n'auraient jamais dû quitter, le navire emprunté pour le retour étant quand même plus sécurisant et plus luxueux que les embarcations utilisées à l'aller tels les canots en caoutchouc bondés ou les barcasses en bois vermoulu.

2. La deuxième contrainte imposée devrait être l'obligation pour le navire de revenir impérativement à vide, le but de l'opération n'étant pas l'échange de réfugiés refoulés contre d'autres candidats à l'exil vers l'Eldorado Occidental, mais le retour au bercail (même si au niveau de la rentabilité pour l'armateur il pourrait y avoir à redire), avant d'effectuer une nouvelle rotation dans les mêmes conditions jusqu'à épuisement  du nombre de demandeurs d'asile visés par cette remigration en terre natale.

C'est donc un concept très attractif qui devrait être envisagé par tous les États concernés par cette immigration sauvage souhaitée par les « élites » mais pas par les Peuples, pays qui disposent d'une flotte de bâtiments de grande capacité d'embarquement. L’avantage indéniable par rapport à la formule « charter » étant le bilan carbone de l'opération et le nombre de passagers transportés, même si il doit y avoir une contrepartie pénalisante, la durée du trajet.

Rien n'empêche d'ailleurs dans le cadre de la solidarité Européenne que les pays qui ne sont pas pourvus d'une flotte suffisante pour assurer cette mission soient aidés par leurs voisins mieux dotés des moyens logistiques pour réaliser avec efficacité cette entreprise de retour à l'envoyeur, ce qui serait un signe que « l'Union Européenne » a un sens, même si c'est le seul.

La seule ombre au tableau étant que sur de tels navires avec autant de passagers il est nécessaire de disposer d'un équipage et d'un personnel de bord, à commencer par les stewards, tous sexes confondus qui devront hélas être contraints de raser les coursives pour éviter la convoitise de ces rapatriés frustrés, sans doute réticents et peu coopératifs, voire vindicatifs, ceux qui n'ont pas pu assouvir leurs pulsions sexuelles à terre et qui vont devoir passer quelques semaines en mer, sans escale, le trajet de retour étant malgré tout assez long pour rejoindre la destination finale.


La décadence

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