samedi 28 novembre 2015

L’heure est aux tambours de guerre, mais Hollande joue du pipeau – par Marc NOÉ

  
L
a France est en deuil. Les familles des victimes sont étreintes par le chagrin. La Nation témoigne de sa compassion. Nos Drapeaux tricolores ressurgissent. La Marseillaise retentit de loin en loin comme cela ne s’était pas produit depuis fort longtemps. La France est en guerre. On pourrait… on voudrait croire à un salutaire sursaut patriotique avec la farouche détermination d’en découdre avec l’ennemi. Et pourtant…n


Et pourtant, l’esprit de toutes ces manifestations spontanées des premiers jours qui suivirent les attentats est en passe d’être dénaturé et récupéré. Comme celles de Janvier...

Esprit dénaturé par des médias qui n’ont de cesse de mettre l’accent sur tous les aspects émollients de la situation : les pleurs, les gros plans sur les mines déconfites, les démonstrations de sensiblerie devant caméra. Des caméras qui se sont notamment attardées sur une femme baisant les mains d’un musulman ou sur quelques « idiots utiles » vantant le « vivre ensemble ». Des bougies contre des Kalachnikov : les djihadistes doivent rigoler.

Esprit récupéré par un « président » qui surfe sur le malheur et la souffrance des gens en espérant remonter dans l’estime publique à l’approche des élections.

Les propos qu’il a proférés lors de la cérémonie aux Invalides sont d’ailleurs totalement indignes d’un chef d’État. « Ni haine, ni vengeance », a-t-il osé dire.  Devrions-nous alors aimer l’ennemi, tendre l’autre joue et en rester là ?... Des propos imbéciles qui témoignent à la fois d’une inconscience notoire et d’une lâcheté sans borne. D’une prétention écœurante également lorsqu’on l’a vu assis tout seul, bien détaché devant la foule des « sans-dents », comme ils les appellent. Comme pour bien faire croire que tout le monde est rassemblé derrière lui. Le poids de l’image… mais pas celui de Hollande.

Tout en participant à la peine des familles, un véritable chef aurait eu des accents plus virils et martiaux. Il en aurait appelé à la mobilisation contre l’ennemi et aurait évoqué les combats à mener. Avec le prix des sacrifices mais la joie de la victoire.

Mais rien de tout cela. Au contraire, Hollande aura eu une attitude pleurnicharde et larmoyante. Au ton énergique qui eut été de mise, il a préféré celui du prêche à deux balles sous une mine fataliste et compassée. Les militaires qui assistaient à la cérémonie devaient en bouillir sous leur képi. Surtout lorsque fut interprétée la chanson « Quand on n’a que l’amour » là où nous aurions préféré un chant guerrier. Pourquoi pas « le Chant du Départ »…

En fait, à cette malheureuse occasion Hollande aura une fois de plus montré ce dont il est capable : c’est-à-dire de pas grand-chose.

L’heure est aux tambours de guerre !... mais Hollande joue du pipeau.n

Elle baise la main d'un musulman... Déjà couchée !

La décadence

La décadence

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