Apartheid –
Ghetto sont venus s’ajouter, récemment, aux éternelles - Discrimination –
Victimisation.
L
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a liste employée est longue chez ces gens-là donneurs des leçons
de morale. Ne viennent-ils pas de réinventer la mixité sociale ?
Si nous leur rappelions la réalité ?
Dans les programmes de construction de grands ensembles d’il y a
quarante-cinquante ans, on compte un certain nombre de logements dits sociaux,
gérés par les mairies ou les offices de HLM, les autres étant la propriété des
promoteurs de ces monumentales et, parfois, hideuses cités.n
Qui achetait et qui louait ?
-Il y avait ceux qui
acquéraient pour en retirer un revenu locatif.
-Beaucoup de Français de souche
européenne (nous les nommerons, ici, FSE) se sont endettés, souvent, pour
acquérir leur résidence principale. Ils devenaient propriétaires d’un
appartement hypothéqué par les organismes bancaires. C’est à l’époque de
Giscard que les premiers prêts conventionnés ont été créés pour inciter les
citadins à migrer en milieu rural, souvenez-vous.
-Et il y avait ceux qui
n’avaient pas les moyens d’acheter mais pouvaient obtenir, par les
municipalités, un logement en location à prix honnête, plus confortable que ceux
dans lesquels ils vivaient, souvent à l’étroit et dans des cadres pas si odieux
que cela, avec parc ou jardin d’enfants, desservi par des transports en
communs, proches des écoles et des commerces, etc…
Cela faisait le bonheur de tout
le monde tout en permettant de désengorger les villes et les FSE, locataires et
propriétaires, vivaient en bonne intelligence.
Mais voilà que la politique du
regroupement familial des mêmes Giscard et Chirac change la donne.
Il faut loger les milliers de
familles immigrées venues rejoindre le père ou le frère ou le grand père venues
des pays d’Afrique subsaharienne ou du Nord. (Nous les nommerons FSA et FSNA,
ici).
Que s’est-il passé dès lors que
les portes de ces cités radieuses leur ont été ouvertes ? Ils se sont regroupés
en fonction de leur pays d’origine, de leur culture, voire même, de leurs
villages ou de leurs clans familiaux, aidés en cela par nos services
sociaux et associations de gauche qui
voyaient, là, une manière d’apaiser l’éloignement du pays. Il est bien connu
que lorsque une famille FSA ou FSNA arrive dans un quartier, un bâtiment ou un
village, dix tentent de les rejoindre jusqu’à obtenir leurs places aux côtés
des premiers arrivés.
Sauf que… Réunis, ils ont
continué à vivre comme dans les douars ou les villages africains, imposant aux
FSE leurs us et coutumes, leurs familles nombreuses et tout ce qui va avec.
Peu à peu, les FSE ont déserté
ces cités et ont été, systématiquement, remplacés par les FSA et FSNA toujours
demandeurs, qui y trouvaient leur compte. Et nos cités radieuses se sont vite
transformées en cités de la joie… façon Calcutta, hideuses à souhait.
Aujourd’hui, Valls parle
d’apartheid. Il est fou. Nous ne les avons jamais regroupés ni maintenus à
part. Ils se sont installés, mixés, volontairement et ils ont, eux-mêmes, créé
leurs ghettos. Alors, quand nous l’entendons parler de la mixité sociale à
recréer, ça peut faire rire certains ou faire froid dans le dos des FSE en
demande de logement social.
Quant à croire et faire
accroire qu’ils sont défavorisés, discriminés parce que réunis dans ces cités,
il y a une énorme mauvaise foi patentée de la part de ces politiques puisque ce
sont ces immigrés, eux-mêmes, qui l’ont voulu ainsi.
Les FSE ne font plus, depuis
longtemps, des familles nombreuses. Dans leur culture, deux ou trois enfants
sont le maximum qu’elles puissent élever décemment… et encore !
A l’inverse, les familles FSA
et FSNA ne connaissent que peu ou pas la contraception que ce soit par
conviction religieuse ou non. Elles forment, en moyenne, des familles comptant
six enfants voire plus.
Il en est résulté une
surpopulation dans ces cités où la jeunesse grouille d’ennui dès que la
scolarisation n’est plus obligatoire. Et quand des jeunes s’ennuient, ils font
n’importe quoi.
On l’a pu constater, dans les
cités périphériques des villes de France, cela va du trafic de drogue au
commerce des armes en passant par les vols à l’arraché ou les vols par
effraction jusques et y compris les assassinats et autres règlements de comptes
que la France connait depuis quelques années.
Il est évident que,
aujourd’hui, dans ces cités, les gens vivent mal. Le sentiment de victimisation
que les bienpensants leur ont inculqué en a fait des rebelles repliés dans des
zones incontrôlables appelées, aussi, zones de non droit. La situation
internationale ne faisant rien à l’affaire, les apprentis terroristes s’y sont
multipliés là où les recruteurs rencontrent un terreau fertile.
Ceci est la réalité. Alors,
qu’espère donc obtenir notre gouvernement de gauche en prônant le retour à la
mixité sociale, sauf à dépenser plus d’argent que la France n’en a les moyens ?
Aucun FSE, fut-il le plus
pauvre, n’acceptera d’élever ses enfants dans des cités - même neuves - qui
deviendront, en très-très peu de temps, des poubelles, ce qu’elles sont
aujourd’hui.
Nombre de familles FSA et FSNA
ne veulent rien entendre, non plus. Elles se sont assimilées et ne veulent,
pour rien au monde, mélanger leur progéniture à ceux-là. Elles n’ont pas tort, on
ne les protège jamais assez.
Mais alors, exiger de
construire de nouveaux logements sociaux, les imposer à d’autres villes,
d’autres endroits, sous peine d’amendes comme ils le préconisent, ne pourra
jamais être la solution. On voit bien, d’ici, ce que donnerait un tel
programme. Refouler plus loin, encore, les FSE et les familles assimilées qui
fuiront ces quartiers, ces villages et nombre de demandeurs de logements
sociaux, FSE ou autres, qui refuseront de cohabiter avec les familles FSA et
FSNA fortes de l’exemple qui leur est, tous les jours, démontré.
Le résultat est que ce
programme, souhaité par la gauche au pouvoir, ne fera qu’étendre les zones de
non droits au lieu de les faire disparaître.
Nous ne sommes pas en face d’un
problème social mais, bien, d’un problème crucial qui est d’ordre culturel et
cultuel.
Et il perdurera tant que la
gauche continuera de refuser d’admettre qu’un FSA ou un FSNA n’est pas un
occidental et qu’ils refusent, dans leur grande majorité, de s’intégrer ou de
s’assimiler.
La question à se poser est :
Faudra-t-il un jour, séparer les villes d’immigrés des villes de FSE comme
elles existaient, plus ou moins, dans les anciennes colonies françaises ?
C’est, pourtant, ce qui existe
depuis plus de trente ans mais les gens de gauche et les bienpensants ne
veulent pas le voir. Dans toutes les villes françaises, nous avons les cités en
majorité maghrébines et africaines ou ce qu’on appelle, les quartiers arabes.
Des endroits où, seuls, de rares FSE cohabitent avec eux. Sauf que le grand
banditisme et le terrorisme y sont en développement constant. Ajoutez à cela
qu’ils y règnent en petits caïds et que, du simple commerçant FSE aux forces de
l’ordre, interdiction leur est faite de s’installer ou s’approcher de « chez
eux » sous peine de graves sévices.
Aucun de nos présidents
antérieurs et, encore bien moins, ce dernier en exercice, n’a cherché à faire
comprendre à ces immigrés qu’ils n’étaient pas des citoyens exceptionnels. Au
contraire, ils ont fait preuve d’un laxisme et d’une lâcheté (politique avec
les pays arabes, oblige) envers leur incivisme et, même, leurs crimes qui les a
confortés dans le sentiment qu’ils étaient intouchables.
Face à cet état de fait, il
faut chercher à résoudre le problème avant que nous ne soyons totalement
submergés.
La République, une et indivisible,
est la seule solution au problème. Qu’ils vivent entre eux, si ça leur plait
mais en respectant les Lois de la République Française. Tant qu’il y aura deux
poids deux mesures qui séparent bien plus ces communautés des Français
républicains que la mixité sociale, nous ne pourrons jamais vivre ensemble.
Parce que La Loi doit s’appliquer à tous ceux qui vivent en France.
Alors, que restait-il à ces
politiques, de leur esprit du 11 janvier, guignolesque à souhait, pour se
maintenir à flot ?
On savait qu’il y avait une
manipulation flagrante de leur part et que leur retournement de veste allait
s’opérer rapidement. Mais le scrutin à venir les a obligés à se dévoiler plus
vite, encore. Après ces crimes racistes
que les Français ont vécus et la pantalonnade socialo du 11 janvier, il leur fallait récupérer les voix potentielles
de ces communautés pour éviter la débâcle amorcée et celle de la droite, aussi.
Que pouvaient-ils offrir, en
échange, à ces électeurs-là ? Des paroles… oui, ils n’en manquent pas. Mais il
fallait des (projets d’) actes pour essayer de convaincre les zonards et autres
immigrés de leur faire confiance. Comme ils ne sont jamais à court de
mensonges, Hollande et Valls, pour ne nommer qu’eux, ont pondu la mirifique
mixité sociale à venir après avoir dénoncé un apartheid sorti de leur esprit
mythomaniaque et les ghettos devenus, pour l’occasion, musulmans.
Ce qui est infiniment plus
grave et doit nous faire réagir rapidement c’est qu’ils sont bien capables de
mettre leur projet à exécution ; ils ont
encore deux ans pour le faire. Il en résulterait l’extension des zones de non
droit dans nos villes et nos villages, surprotégées comme ils le sont
aujourd’hui, par une ministre de la Justice, garde des Sceaux faisant preuve
d’une affection particulière pour les rebelles et autres indépendantistes
antifrançais.
Français, FSE ! Il n’y a plus
une minute à perdre. Si nous voulons sauver notre République, si nous voulons
sauver la France, votons vite et bien à toutes les élections, à commencer (ou à continuer) par les
Régionales de décembre prochain.n