lundi 2 février 2015

Terrorisme islamique, un petit éclairage – par SURCOUF


A
u-delà de l’horreur et de l’effroi suscités à travers notre pays et même le monde entier face aux actes de barbarie pure commis par ces terroristes islamiques et des réactions à froid, nous devons nous interroger sur la responsabilité réelle de ces attentats dont les auteurs n’auront en définitive été que le bras armé.n

Les responsables
Ceux que nous avons élus ont œuvré exactement dans le sens opposé de celui pour lequel nous les avons missionnés afin de nous représenter.
Mais alors, au fait, qui sont véritablement les responsables de ces folies meurtrières à répétition ? Au risque de vous surprendre, voire même de vous choquer, nos gouvernements successifs et, à travers eux, nous-mêmes sommes responsables de ces ignominies. Oui, vous, moi, nous tous sommes responsables de la situation actuelle dont l’origine remonte à bien loin déjà, et nous nous efforcerons de le démontrer au fil des lignes qui vont suivre. Car nul doute, c’est bel et bien nous qui avons enfanté, nourri à notre sein, élevé ce terrorisme sur le terreau fertile de la déstructuration et la désintégration programmées de nos propres sociétés. Et nous l’avons fait par notre propre inaction, notre suivisme, notre passéisme, ou, pis encore, notre endoctrinement idéologique en mettant au pouvoir depuis des générations, quantité d’irresponsables politiques aveuglés par leur doctrine, leur angélisme et surtout leur volonté d’annihiler toute forme de résistance qui viendrait s’opposer à eux, fût-elle au prix de l’exclusion politique et, plus grave encore, à la privation progressive de notre liberté d’expression dont les victimes des attentats ont payé le prix fort. Bref, nous avons pêché par action ou par omission.
Certes, me direz-vous, lorsque nous élisons un gouvernement ou nos représentants au Parlement, nous ne pouvons pas savoir au début de leurs mandats qui ils sont réellement. Or, c’est un fait établi, nous ne nous sommes pas contentés de les élire une première fois mais nous les avons réélus connaissant déjà leurs méfaits, leur inaction ou leur inaptitude à tenir les rênes du pays. Qui ne s’est pas senti trahi, que dis-je, cocufié lorsque ceux que nous avons élus ont œuvré exactement dans le sens opposé de celui pour lequel nous les avons missionnés afin de nous représenter ? L’exemple le plus récent et frappant à cet égard est sans nul doute celui de l’adoption par voie parlementaire du Traité de Lisbonne alors que le peuple s’y était plus que majoritairement opposé lors du référendum du 28 mai 2005. Cela ne nous a pas empêché, vous comme moi, de réélire ces coupables de forfaiture en se disant qu’après tout ils n’étaient pas si mal, sic, ou en les légitimant d’une autre façon en ne se rendant pas aux urnes... Et il en a été ainsi depuis des décennies, que dis-je, au moins un siècle déjà, avec cette volonté permanente de détruire tout repère à notre société afin d’imposer progressivement un nouveau modèle de pensée unique qui a des allures totalitaires et dont les auteurs ont baigné dans l’idéologie marxiste la plus pure, hommes de droite comme de gauche confondus… Ainsi sont posées les bases de cette destruction de l’origine de notre société qui conduisent doucement le peuple vers son anéantissement. Alexandre Soljenitsyne ne disait-il pas qu’«afin de détruire un peuple, il faut d’abord détruire ses racines.» ? Tout un programme en perspective ! Le terrorisme islamique n’est pas né par un simple claquement de doigts, il a été programmé par les inconséquences de nos gouvernements successifs comme nous allons le voir ci-après.

L’origine du mal

Les socialistes ont inventé de toute pièce ce principe de laïcité afin d’imposer progressivement leur propre doctrine.
 Mais alors, de quand date réellement l’origine cette destruction ? Là aussi, au risque de vous surprendre, et pour tous les adeptes de la laïcité, cette dernière a été le principe fondateur de notre société actuelle mais a également été l’acte de naissance derrière lequel se retranchent tous ceux qui profitent des failles de notre modèle sociétal, islamistes en tête. Eh oui, c’est bel et bien le socialiste (déjà eux !) Aristide Briand qui a été à l’origine de la loi promulguée le 9 décembre 1905 sur la laïcité. Nous ne voyons en elle que ce « modèle » qui nous a été imposé et enseigné par le modèle républicain depuis plus d’un siècle déjà et derrière laquelle nous nous retranchons pour justifier notre volonté d’égalitarisme. Mais en réalité la laïcité n’a été  que le fruit d’anticléricaux qui voulaient « bouffer du curé » qui, à l’époque, étaient à peu près les seules personnes instruites des villages avec les instituteurs. Don Camillo et Peppone en quelque sorte ! Et nous avons vu qui a gagné, du moins pour l’instant, ce combat idéologique. Ce sont les socialistes qui, pour se débarrasser du poids et de l’influence de l’Église, ont inventé de toute pièce ce principe de laïcité afin d’imposer progressivement leur propre doctrine envers laquelle tout le monde doit se plier, sans exception.


Bref, en se débarrassant de nos origines, nous renions toute forme d’appartenance religieuse ou sociétale. Le seul modèle qui prévalait à l’époque, effet de mode contagieux, était le modèle marxiste en cours d’expérimentation avec l’avènement de la révolution d’octobre 1917 en Russie. La nouvelle religion qui devait s’imposer à tous devait être la religion d’État. Oui, mais ce principe ne prévaut que dans une société dictatoriale et non affaiblie comme cela l’a été sous le régime de l’ex-URSS. Or, la nature a horreur du vide, c’est bien connu, et lorsqu’un modèle sociétal n’existe plus ou est en forme de déclin ou de décadence, un autre modèle vient prendre inexorablement sa place. Et ce modèle, qu’on le veuille ou non, nous l’avons importé au travers d’une immigration majoritairement musulmane depuis près de 50 ans. Notre refus d’inscrire dans le marbre nos origines est sans nul doute possible à l’origine de nos malheurs actuels lorsque nous avons affaire à une autre idéologue théocratique mais totalitaire qui ne cède pas sous les coups de boutoirs des principes de respect des institutions de la République, ne reconnaissant que leur seule religion comme seul et unique guide. Oui, Monsieur Chirac, vous avez eu le tort de refuser en mai 2003 toute référence au christianisme dans la constitution européenne qui symbolise aussi celle de nos racines. Tout arbre, comme tout homme, a besoin de racines pour vivre, savoir d’où il vient pour savoir où il doit aller. Couper ses racines et c’est assurément le condamner à une fin programmée. Vous auriez été mieux inspiré de suivre les principes de Jean de Lattre de Tassigny qui affirmait qu’« à la Grèce nous devons surtout notre raison logique, à Rome nos maximes de droit et de gouvernement ; mais à L’Évangile nous devons notre idée même de l’homme. Si nous renions l’Évangile, nous sommes perdus ». Or, c’est exactement ce qu’il s’est passé lors de l’adoption de cette loi sur la laïcité en 1905 et reprise par Jacques Chirac devant son refus de reconnaître l’origine judéo-chrétienne de notre civilisation. Bien mal nous en a pris, l’islam conquérant a pris sa place… André Malraux nous avait déjà prévenu prophétiquement, « le 21ème siècle sera spirituel (religieux) ou ne sera pas » et nous sommes en plein dedans, l’islam s’engouffrant dans le vide spirituel et idéologique de nos sociétés chrétiennes que l’on a pris un malin plaisir à vouloir détruire depuis un siècle. Peu à peu, le nouveau Don Camillo, mais islamiste celui-là, s’est substitué au Don Camillo catholique ou chrétien et est en train de regagner du terrain sur tous les Peppone politiques aveuglés par leur science infuse et leur bienséance face aux cohortes de prédicateurs et autres imams de nos banlieues qui professent des idéaux aux antipodes de nos canons de liberté et de démocratie. Religion, tu nous tiens toujours !

L’islam : une religion d’exclusion

Ce n’est pas nous qui avons exclu l’islam, mais c’est lui-même qui s’est exclu de fait des autres en ne reconnaissant pas d’autres religions ou croyances dans ses préceptes fondateurs.
En croyant avoir chassé un mal (mais terriblement moindre personnifié par le christianisme) de nos sociétés, nos gouvernements, avec notre bénédiction implicite et explicite, ont amené la venue du loup dans la bergerie en favorisant un autre mal qui ne dit pas son nom, mais qui est ô combien plus dévastateur et rétrograde que le précédent en la présence croissante de l’islam au cœur de nos sociétés occidentales, car la France n’est pas, loin s’en faut, la seule menacée. Alors, oui, il faut bien appeler un chat un chat et comme le disait Albert Camus, « mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde ». Aussi, seul le discours du politiquement correct prévaut aux yeux de nos gauchistes aux manettes des appareils médiatiques, institutionnels et démocratiques. Et ne croyez surtout pas que la pseudo-droite soit en reste tant les déclarations de non- « stigmatisation » sont devenues leur crédo, que dis-je, leur pensée, leur religion… Et pourtant, essayons d’être rationnels et objectifs et d’analyser les faits et écrits, rien que cela. Au regard de cela, libre à chacun de se faire une opinion objective. En premier lieu, analysons le sens réel du mot « islam » dont la signification exacte n’est rien d’autre que « soumission ». Ah oui, mais à qui et à quoi ? A Allah ?  A une religion ? A une idéologie ? Et si nous nous revendiquions ou nous identifions d’une autre religion, qu’elle soit chrétienne, juive, bouddhiste, hindouiste ou tout simplement athéiste, qu’adviendra-t-il de nous ? L’on nous prêche sans arrêt les notions de vivre ensemble, de tolérance, de respect mutuel, tout ceci est bien beau sur le papier, mais la réalité est bien plus dure et cruelle, et les auteurs de cette digression ne sont pas du côté de ceux, irresponsables en raison de leur angélisme et de leur manque de culture évident, mais du côté de ceux qui n’ont pas (encore) réussi à faire leur aggiornamento religieux en éradiquant les fameux « versets sataniques » si chers à Salman Rushdie qui lui ont valu une fatwa le condamnant à mort, rien que cela. Il ne peut y avoir de cohabitation harmonieuse avec l’islam que si cette idéologie décide enfin, sous la pression de quelques réformateurs lucides, à éradiquer complètement du coran et autres textes, tous les versets de la période médinoise qui prêchent la haine, la violence, la guerre, le meurtre et le génocide. Seuls devront subsister les versets de la période mecquoise où Mahomet se sentait contenu en raison de la faiblesse de son armée et de son influence, l’incitant à la plus grande prudence en n’exprimant pas publiquement d’appels à la guerre sainte et au crime. Malheureusement, la réalisation de cette réforme de l’islam, si essentielle à cette cohabitation pacifique, n’est pas près d’avoir lieu en raison de son essence même, son  principe fondateur, sa pierre angulaire de cette nouvelle croyance incarnée par la Chahada qui n’est autre chose que la profession de foi islamique, rien que cela,  Mais que dit-elle au juste ? Elle affirme : « Il n’y a de Dieu qu’Allah, et Mahomet est son messager ». Au décryptage, cette affirmation est donc celle de l’unicité d’Allah à l’exclusion de toute autre religion ou croyance et elle se révèle être le facteur essentiel d’exclusion de l’islam envers toutes les autres. Ainsi, l’islam ne reconnaît aucune autre religion ni aucun autre prophète si ce n’est Mahomet. Toute autre croyance selon la Chahada est interdite et doit être combattue. Au final, ce n’est pas nous qui avons exclu l’islam, mais c’est lui-même qui s’est exclu de fait des autres en ne reconnaissant pas d’autres religions ou croyances dans ses préceptes fondateurs. Voilà qui permet d’apporter un premier éclairage sur la religion que l’on nous prête d’amour, de paix et de tolérance, à tort, et qui porte en elle les germes de son incroyable intolérance et rejet. Une excellente entrée en matière pour tous les terroristes en herbe qui peuvent justifier leur infamie en se retranchant derrière une religion.

Le coran : guide pratique de l’extermination

Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un appel au meurtre pour ne pas dire un ordre à l’extermination et au génocide envers quiconque ne serait pas musulman lui-même.
Maintenant, passons au plat de résistance. Toujours dans un but de crédibilité, nous nous en tiendrons exclusivement aux textes. Une démarche purement cartésienne, froide, analytique mais qui a le mérite de ne pas laisser place à l’interprétation. Nous resterons donc purement factuels de bout en bout. Et pour vous dire, fidèle à Saint Thomas, j’ai voulu m’assurer par moi-même de la véracité de ces textes. À cette fin, j’encourage vivement tout le monde à faire preuve de courage et d’abnégation en achetant un exemplaire du coran en français ou en  téléchargeant une version sur internet et de s’atteler à la lecture des quelques 6236 versets pour mieux se rendre compte de la réalité de la situation. Les plus courageux peuvent également étudier les Hadiths, la Sunnah et la Sîrah pour avoir une version plus étendue de la civilisation islamique et apporter un éclairage encore plus fin. Afin de vous faciliter le travail, quelques versets appelant à tuer les non-musulmans sont reproduits ci-après. Pour ne pas noyer le texte, seuls quelques-uns parmi les centaines de versets violents figurent ici mais donnent une pleine légitimation aux djihadistes et autres terroristes de leurs actions violentes et barbares. Et rien de plus naturel pour eux que de passer à l’action puisqu’ils ne font qu’appliquer une lecture pour le moins explicite, le tout sous la bénédiction et les encouragements divins d’Allah. Jugez plutôt :
2.90 : « Combattez dans le sentier d'Allah ceux qui vous combattent, et ne transgressez pas.  Allah n'aime pas les transgresseurs ! »
2.191 : « Et tuez-les, où que vous les rencontriez; et chassez-les d'où ils vous ont chassés. La persécution est plus grave que le meurtre. Mais ne les combattez pas près de la Mosquée sacrée avant qu'ils ne vous y aient combattus. S'ils vous y combattent, tuez-les donc. Telle est la rétribution des mécréants. »
9.5 : « Lorsque les mois sacrés seront expirés, tuez les incroyants partout où  que vous les trouviez. Faites-les prisonniers ! Assiégez-les ! Dressez-leur des embuscades ! S’ils se repentent, font la prière et s’acquittent de l’aumône, laissez-les poursuivre leur chemin ! Allah pardonne, il a pitié. »
9.29 : «Combat ceux qui ne croient pas en Allah, ni au Dernier Jour, ni interdisent ce qui a été interdit par Allah et ses messagers et ceux qui ne reconnaissent pas la religion de la vérité (l’islam) parmi les gens des Écritures (Juifs et Chrétiens), jusqu’à ce qu’ils payent la Jizya (impôt payé par les non-musulmans pubères en âge d’effectuer leurs services militaires (dhimmis) aux conquérants islamiques avec une volonté de soumission, et se sentent eux-mêmes contenus. »
8.17 : « Ce n’est pas vous qui les avez tués mais c’est Allah qui les a tués. Quand tu lançais, ce n’est pas toi qui lançait, mais Allah, et ce pour éprouver les croyants d’une belle épreuve de sa part. Allah entend tout et sait tout. »
5.33 : «La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et son Messager (Mahomet) et sèment le désordre sur terre, est qu’ils soient tués ou crucifiés,  ou qu’ils aient la main et le pied opposé coupés ou soient expulsés du pays. Ce sera pour eux l’ignominie ici-bas et dans l’au-delà, un plus énorme châtiment. »
47.4 : « Quand vous rencontrez des infidèles, frappez-leur la nuque jusqu’à en faire un grand carnage et serrez les entraves des captifs que vous aurez faits. Puis quand cesse le fardeau de la guerre, libérez-les ou exigez rançon. Il en est ainsi, car si Allah voulait, il se vengerait lui-même contre eux, mais c’est pour vous éprouver les uns par les autres. Et pour ceux qui seront tués dans le sentier d’Allah, il ne rendra jamais vaines leurs actions. »
9.39 : « Faites la guerre à ceux qui ne croient pas en Allah et n’interdisent pas ce qu’a interdit Allah et son Apôtre, ainsi qu’à ceux des gens du Livre qui ne professent pas la religion de la vérité. Faites-leur la guerre jusqu’à ce qu’ils payent le tribut de leurs propres mains et qu’ils soient soumis ».
9.123 : « O Croyants ! Combattez ceux des mécréants  qui sont près de vous, et qu’ils trouvent en vous la dureté.  Et sachez qu’Allah est avec ceux qui le craignent. »
Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un appel au meurtre pour ne pas dire un ordre à l’extermination et au génocide envers quiconque ne serait pas musulman lui-même. Alors oui, les terroristes, au vu de ces textes, trouvent une raison évidente de passer à l’action. Et tout appel au meurtre, d’où qu’il vienne, est injustifiable tant le respect de la vie est précieux et essentiel. Dénoncer les appels à la haine et au meurtre est donc, non seulement un acte citoyen, mais aussi une obligation car ils sont abjects. Jamais nous ne justifierons l’injustifiable si nous ne voulons pas être complices d’assassinat. Nous n’insultons dès lors personne si nous défendons nos idées au droit universel à la vie et combattons farouchement les barbares et obscurantistes qui agissent sous couvert de religiosité et de textes rétrogrades à la condition humaine.

Des témoignages irréfutables
Tous ceux qui ont vécu en terre d’islam ou ont subi les conquêtes à travers l’Histoire savent que l’islam est l’islam et le coran est le coran. Il n’y en a pas 36 versions, et soit on est musulman, soit on ne l’est pas. Les conquêtes islamiques de l’Afrique du Nord et de l’Europe au 7 et 8ème siècle (première vague arabe de 622 à 750 après J.C) et du 11ème siècle (seconde vague ottomane de 1071 à 1683) se sont passées dans la plus pure barbarie, ceci pour ne faire que parler de l’Occident, l’Asie ayant eu également affaire à des massacres encore plus nombreux notamment lors de l’Indi Kouch en Inde. Mais le mieux encore serait de laisser la parole aux apostats de l’islam, ceux qui étant nés musulmans se sont rendus compte de la perversité de cette religion, ont renié celle-ci et en dénoncent tous les méfaits. Il est dès lors évident que ces personnes encourent un grave danger de mort et doivent être placées sous protection policière permanente. Il serait bon de lire ou d’écouter les Salman Rushdie, Taslima Nasreen, Ayaan Hirsi Ali, Wafa Sultan et j’en passe. Il est vrai que pour beaucoup d’entre eux il s’agit de femmes car ce sont elles qui sont les premières victimes de cette croyance rétrograde où elles sont reléguées à un rang moindre que celui d’un chameau… Dans un autre registre, nous pourrions également écouter ceux qui ont vécu les atrocités en terre d’islam dont le Père Samuel en est l’un des témoins avertis puisque sa famille entière fût anéantie en Turquie. Je vous laisse libre d’écouter sa remarquable intervention au Parlement Européen où, finalement, il fût interrompu, dérangeant assurément la classe politique aveugle et adepte du « politiquement correct ». Mais écoutez plutôt : https://www.youtube.com/watch?v=uDKv2zpBpls

La pratique du double langage : la taqiya
Il n’y a pas d’islam modéré mais juste une pratique modérée de l’islam
Quelle leçon à tous nos politiques imbus de leur personne voulant nous faire prendre des vessies pour des lanternes ! Ils se sont trouvés en face d’un érudit qui trouva le moyen de publier un « Dictionnaire de l’intolérance islamique », œuvre gigantesque de toute une vie et qui ne pourrait souffrir d’aucune contradiction… Alors, oui, il n’y a pas d’islam modéré mais juste une pratique modérée de l’islam, ce qui est fondamentalement différent. Quand l’islam est dominé ou en position d’infériorité numérique, cette notion s’applique parfaitement. Il en va de façon tout à fait différente lorsque son poids ou son influence grandit, nous allons le voir ci-après, donnant du grain à moudre au terrorisme religieux. Les notions d’islam modéré ne sont qu’une stratégie de conquête appelée Taqiya qui consiste à mentir pour induire l’ennemi en erreur, donc lui faire croire que l’islam est une religion de paix… Cette politique de double discours des responsables musulmans est très fréquente et il n’est pas rare de les voir s’exprimer de façon édulcorée devant un auditoire qui a besoin d’entendre un message rassurant lorsqu’il n’est pas acquis à sa cause ou devant la classe médiatique et politique toujours atteinte de cécité ou d’inculture, mais bien souvent les deux réunies. Il en va tout autrement lorsque l’auditoire est complètement converti où le discours se radicalise pour atteindre des sommets dans l’ignominie.

Les « exactions » augmentent en proportion du nombre de musulmans

Afin de mieux analyser les comportements des musulmans dans les différentes sociétés, il convient d’examiner exactement leur proportion en termes démographiques car cela a une influence directe sur leurs comportements. En effet, les revendications et exactions sont exactement proportionnelles à leur représentation en pourcentage de la population. Nous pouvons dire que jusqu’à 2 % de la population, les musulmans sont relativement calmes et n’exercent presque aucune forme de revendication car leur poids relatif dans la société dans laquelle ils vivent est trop faible pour avoir un poids et une attention médiatique et politique. Les problèmes commencent à apparaître lorsque leur poids relatif se situe dans la tranche allant jusqu’à 5 % de la population (Allemagne, Danemark, Espagne, Suède). À ce moment, les formes de prosélytisme commencent à apparaître ainsi que certaines revendications « mineures » et qui peuvent paraître pour nos sociétés comme étant acceptables, à savoir le port du foulard, les lieux de culte, etc. Jusque-là, le mouvement semble encore réversible car leur influence ne s’exerce au final que dans leur communauté proche ou envers d’associations « droit-de-l’hommistes » prêtes à toutes les corruptions et compromissions possibles La politique des petits pas ne s’arrête bien entendu pas là et tout terrain gagné par l’islam revendicatif et conquérant l’est une fois pour toute, empêchant tout retour en arrière ou le rendant de plus en plus compliqué à mettre en œuvre. Les choses réellement sérieuses commencent dans la tranche supérieure qui nous mène jusqu’à une représentation de 10 % de la population comme c’est le cas pour la Belgique, la France, les Pays-Bas, la Suisse, le Canada… A ce moment-là, les revendications commencent à prendre une dimension différente avec des exigences en matière de nourriture halal, de construction de mosquées, de port du voile intégral, de lieux et horaires spécifiques pour les femmes (piscines, consultations médicales, etc.). Plus on se rapproche de la barre fatidique des 10 %, plus leurs exigences sont nombreuses, avec des emplois réservés, une action concertée sur la classe politique dans son ensemble pour obtenir des faveurs car ils commencent à représenter un poids électoral non négligeable. Cette forme de lobbying porte bien évidemment ses fruits, nos politiques toujours en recherche d’une place ou de réélection cèdent à leur chantage en se soumettant à leur revendication et ferment les yeux sur leur volonté de ne pas vouloir s’intégrer Les violences contre l’ordre établi, la police, et la délinquance commencent à s’organiser dans les cités où ils sont majoritaires. Des zones de non-droit font leur apparition et la Charia s’impose de fait dans ces zones. Les violences et agressions envers les personnes d’autres confessions commencent également à prendre une tournure dramatique avec des cas de morts gratuites (comme celui d’Ilan Halimi par exemple) pour un simple regard… Bien entendu, à ce stade ils ne supportent plus aucune critique envers leur religion. Passée la barre des 10 % pour aller jusqu’à 20 % de la population (Israël, Russie, Centrafrique), les actes d’agressions sont quotidiens, des zones entières du territoire deviennent exclusivement musulmanes et soumises à la loi d’Allah. Le poids politique devient énorme et ingérable avec des revendications territoriales, des attentats réguliers. Il s’agit vraisemblablement d’un point de non-retour tant les affrontements sont réguliers et violents car ils exigent une politique de fermeté absolue comme celles adoptées par Israël et la Russie pour pouvoir les contenir car seule la peur et la voix des armes les font plier. Au-dessus de cette barre fatidique des 20 % (Soudan du Sud, Cameroun, Mozambique) les actes d’agression envers les non-musulmans sont légions et un rien fait exploser les réactions communautaires. La Charia commence à devenir la règle presque partout et ceux qui ne s’y plient pas ou sont d’une autre confession sont éliminés. Au-dessus de 40 % (Côte d’Ivoire, Nigéria, Liban), la situation devient ingérable pour le pays avec une partition de fait du pays en deux avec des actes de guerre purs et simples. Les églises, temples ou synagogues sont brûlés, les non-musulmans massacrés lors d’expéditions punitives dans les zones vers lesquelles les non-musulmans vivent entre eux afin de ne pas subir la Charia. Bien souvent le pays est en proie à une longue guerre civile qui ravage l’économie. Au-delà de 60 % (Égypte, Syrie, Bosnie, Kosovo, Irak), les non-musulmans sont considérés comme des sous-hommes et vivent en situation de dhimmis, à la merci du gouvernement qui est en place s’il n’est pas régit par un gouvernement de forme dictatoriale ou militaire. Leur sort dépend en effet largement du type de pouvoir à la tête de ces états qui peut être plus ou moins accommodant envers les minorités religieuses, comptant sur ces dernières afin de pouvoir se maintenir en place (Hosni Moubarak, Saddam Hussein, Bachar el-Assad). La fuite des Chrétiens, Juifs et autres minorités religieuses est un fait établi, l’épuration ethnique a réellement commencé… Voilà qui nous porte un autre petit éclairage sur la dimension conquérante, revendicatrice et à même de commettre des attentats sur le sol des pays où les musulmans sont implantés. Le terrorisme se vit alors ici au quotidien et est organisé par les états eux-mêmes.

Islamophobie… vous avez dit « islamophobie » ?...
Revenons un peu sur une erreur dialectique fréquemment commise par nos élus et autres journalistes en voulant nous parler d’islamophobie pour désigner à leurs yeux d’incorrigibles racistes primaires. Mais de quoi parlent-ils au juste ? Il serait bon qu’ils retournent à leurs chères études afin d’apprendre réellement le sens étymologique de ce mot qui est la décomposition de deux mots, islam et phobie qui vient du grec ancien phobos, avoir peur de… Donc, si j’en comprends bien le sens, l’islamophobie n’est rien d’autre qu’une peur de l’islam et, nous venons de le voir, à juste titre lorsque vos voisins n’aspirent qu’à vous exterminer pour réaliser une prescription divine. S’ils voulaient vraiment désigner la haine, le rejet de l’islam, un autre préfixe grec, miso, devrait être employé. Cela nous donnerait le mot suivant : miso-islamisme ou, pour un sens religieux plus général, misothéisme. Il est vrai que cela sonne beaucoup moins bien… Donc, messieurs les journalistes et politiques, avant de vous engager sur le terrain du politiquement correct de donneurs de leçons, il conviendrait d’abord de savoir de quoi vous parlez, mais votre ignorance le fait pour vous… Et en cela, nos « amis terroristes » savent utiliser toutes les failles que vous leur apportez sur un plateau d’argent.

Le « grand capital » complice de l’islamisme conquérant

Les chantres d’un libéralisme débridé veulent toujours d’une immigration et sont les meilleurs avocats de l’ouverture des frontières.
Un petit retour sur l’origine de nos maux et de notre responsabilité collective s’impose. Depuis 50 ans maintenant, depuis la décolonisation et la fin de la guerre d’Algérie en 1962, non seulement nous avons dû faire face à l’exode contraint et forcé des Français d’Algérie mais en plus, non contents d’avoir gagné la guerre d’indépendance, de très nombreux maghrébins ou africains sont venus en France pour y travailler, leurs pays nouvellement indépendants n’étant pas capables de gérer la situation économique d’après-guerre ou d’après indépendance. C’est un fait que de nombreux migrants sont venus de leur propre chef pour travailler, mais nous avons également notre propre part de responsabilité. De nombreuses sociétés industrielles ou du bâtiment ont fait venir ces populations pauvres par wagons entiers afin de les faire travailler dans des postes peu qualifiés et à des conditions travail et de rémunération dignes d’un nouvel esclavage. Et tout cela au nom du sacro-saint profit à court terme, de la rentabilité… Vive le libéralisme ! De nombreuses richesses se sont édifiées sur les ruines de la décolonisation et l’exploitation de la misère humaine, et ce, déjà sous le dernier septennat de Charles de Gaulle… L’on comprend un peu mieux pourquoi les chantres d’un libéralisme débridé veulent toujours d’une immigration et sont les meilleurs avocats de l’ouverture des frontières. Ils sont également les premiers responsables de cette immigration imposée par le capital, et se sont faits les complices implicites de l’islam conquérant. Il est vrai également qu’avant le premier choc pétrolier de 1973, la France d’alors ne connaissait pas le chômage et devait donc faire fonctionner son économie…en important de la main-d’œuvre. L’Allemagne, elle, qui devait gérer la reconstruction de son économie, avait pour sa part choisi la modernisation de son outil de production et la robotisation, choix diamétralement opposé et dont ce pays en a tiré beaucoup plus de profits sans en avoir les incidences sociales et sociétales ! Merci donc à ces exploiteurs du CAC 40 et des autres à moindre échelle d’avoir mis le vers dans le fruit. Cette politique s’est bien entendu poursuivie sous Pompidou, puis Giscard, avant que la crise économique ne vienne nous faire comprendre de l’ampleur du désastre. Pis encore, le premier coup de poignard à notre société fût donné le 29 avril 1976 par Valéry Giscard d’Estaing et son Premier Ministre, Jacques Chirac, avec la promulgation du décret scélérat numéro 76-383 autorisant le regroupement familial. Cette fois, non seulement les immigrés pouvaient venir en France, mais en prime ils pouvaient y faire venir leurs très nombreuses familles. Inutile de dire que la majorité des immigrés venaient des pays du Maghreb ou d’Afrique sub-saharienne avec d’autres mœurs, coutumes et surtout religion…. Jusqu’à lors, les immigrations précédentes avaient été le fait de peuples européens partageant les mêmes valeurs judéo-chrétiennes qui facilitaient grandement leur intégration. Cela va faire bientôt 40 ans que cette mesure est en œuvre et nous constatons maintenant les dégâts qu’elle a occasionnés dans la structure de la population. Si nous revenons en arrière, lors de la reconstruction du pays d’après-guerre, les cités d’alors étaient peuplées principalement de travailleurs français ou d’origine européenne, pour ne pas dire également de cadres moyens tant les logements faisaient défaut. Peu à peu, les immigrés extra-européens ont pris la place dans ces cités jusqu’à y installer des zones de non-droit où seule la Charia a autorité, les forces de l’ordre n’osant plus s’y aventurer. La balkanisation du pays a réellement commencé avec la création de mini-califats de ces 751 zones urbaines sensibles (ZUS, décret N°200-796 du 24 avril 2000). Mais au fait, pourquoi avoir fait le nid des islamistes dans nos villes ? Le décret sur le regroupement familial n’était en fait que la suite logique d’un tout autre évènement qui est pratiquement passé sous silence, et pourtant…

Accords de Strasbourg : la honte de l’Europe

L’Europe a été contrainte de favoriser l’immigration arabo-musulmane sur son sol, de promouvoir son intégration, de favoriser la culture et la religion islamique, les lieux de culte en échange d’une coopération économique.
Rappelons-nous, la France, l’Europe et le monde entier venaient juste de subir le premier coup d’arrêt de la folle croissance des 30 glorieuses lors du premier choc pétrolier qui affecta gravement nos économies. Forts de leur nouvelle puissance, les membres de l’OPEP, principalement des pays arabes, ont profité de cette opportunité sans précédent afin d’affirmer leur domination après des siècles de domination occidentale. Et de quelle manière l’ont-ils faite ! Le 7 juin 1975 restera sans nul doute le jour le plus funeste de l’Histoire européenne et demeurera pour les générations futures celui où nos dirigeants politiques ont vendu littéralement l’Europe aux nouveaux maîtres du monde, celui du pétrole. L’historienne Bat Ye’or nous relate que ce jour-là, les pétro-monarques bédouins chameliers ont fait accepter la pire des conditions de reddition à nos dirigeants européens. Sous couvert de coopération, l’APCEA (PAEAC en anglais), l’Association pour la Coopération Euro-Arabe (fondée en 1974) fît adopter leurs résolutions à leurs conditions à nos dirigeants. Ainsi, selon les termes de cet accord très peu connu et médiatisé, on comprend mieux pourquoi maintenant, l’Europe a été contrainte de favoriser l’immigration arabo-musulmane sur son sol, de promouvoir son intégration, de favoriser la culture et la religion islamique, les lieux de culte et j’en passe, en échange d’une coopération économique. En quelque sorte, un échange pétrole contre immigration-islamisation de l’Europe. L’Europe, lâche et craignant de subir les foudres des émirs avec un nouveau chantage pétrolier, se coucha et signa… Après les accords de Munich, ceux de Strasbourg qui nous vaudront à la fois la guerre et le déshonneur… Sous cet aspect-là, nous comprenons mieux la lâche décision prise par Giscard et Chirac l’année suivante pour encourager une immigration débridée. Et il en va de même pour tous les autres pays de l’Union Européenne, hélas. Nous avons bradé notre souveraineté aux partisans d’un islam rétrograde et moyenâgeux. Au vu de ces décisions qui engagent entièrement notre pays et hypothèquent notre avenir, oui, nous sommes responsables d’avoir mis au pouvoir de nos pays respectifs en Europe et au Parlement Européens, des traîtres qui nous ont vendus pour quelques barils de pétrole, mais surtout de les avoir reconduits dans leurs fonctions au fil des échéances électorales. Le lit de l’islam conquérant et des terroristes est ainsi fait de renoncements en compromissions, de compromissions en subversion, de subversion en défaites, de défaites en déliquescence complète de notre civilisation dont nous commençons à entrevoir les prémisses. Nous comprenons surtout mieux les politiques pro-arabes mais surtout anti-israéliennes menées au cours des dernières décennies par la caste eurocrate. Israël a été vilipendé, condamné à de nombreuses reprises au sein du Conseil de L’ONU alors que les terroristes palestiniens qui veulent la destruction de l’état hébreux, attisent la haine des juifs, sont soutenus à la fois financièrement (avec nos impôts…), politiquement et diplomatiquement. Il ne faut dès lors pas s’étonner de voir le nombre d’agressions, de meurtres de Juifs commis sur notre territoire en très forte augmentation et dont les auteurs sont majoritairement musulmans, transformant le conflit israélo-palestinien en pogroms à répétition sur notre territoire, avec pour voie de conséquence un nombre exponentiel de candidats à l’Alyah, le retour vers Israël. Il est vrai que nos compatriotes Juifs se sentent de moins en moins en sécurité dans notre pays au vu de la formidable croissance exponentielle des actes antisémites. Rappelons au passage que l’islam a été l’allié d’Hitler pendant la seconde guerre mondiale avec notamment l’ancien leader arabe et Grand Mufti de Jérusalem, Hadj Amin Al Husseini, qui n’est autre que l’oncle de Yasser Arafat, à la tête d’une division des Waffen SS en Bosnie et proposa au Führer d’étendre la « solution finale » à tous les Juifs d’Afrique et du Proche-Orient . Comme tout finit par s’expliquer et devenir clair maintenant, la volonté d’éradiquer la présence des Juifs de la planète se perpétue chez les palestiniens et les musulmans, puisque c’est écrit dans le coran ! Entre totalitarismes on se comprend… Nos politiciens ont beau jeu de dénoncer l’antisémitisme grandissant alors que ce sont eux-mêmes, gauche comme droite, qui attisent cette haine en jouant les pompiers-pyromanes. La reconnaissance de la Palestine le 2 décembre 2014 par le Parlement puis par le Sénat n’est en cela que la plus pure illustration de ce bal des hypocrites… À ce sujet, je vous conseille de relire mon article sur le sujet : « Palestine, un petit éclairage » (par Surcouf). Oui, cette haine d’Israël de nos politiciens a fait des émules dans le camp des apprentis terroristes.

Islamisation : gauche et droite même combat
Au fil des ans et des différentes politiques, ce sont des centaines de milliers de clandestins, presque tous issus de pays musulmans, qui ont été régularisés sur notre sol.
La vague de régularisations de 1981 qui a suivi l’élection de François Mitterrand est exactement de la même veine et a obéi aux mêmes impératifs de ce diktat qui ne dit pas son nom venant directement de Riyad et autres pétromonarchies du Golfe persique. Gauche comme droite sont tous unis dans cette islamisation à marche forcée de notre société dont nous payons le prix fort. Et tout cela à l’échelon européen puisque c’est lui le maître d’œuvre de cette sinistre capitulation, nous l’avons vu précédemment avec l’accord félon, que dis-je, la traîtrise de Strasbourg de 1975. Au fil des ans et des différentes politiques, ce sont des centaines de milliers de clandestins, presque tous issus de pays musulmans, qui ont été régularisés sur notre sol, ces deniers faisant famille et utilisant à leur tour le regroupement familial pour submerger encore plus notre pays. Les régularisations de 1997 n’ont fait qu’ajouter au nombre… Cela, sans parler du nombre de clandestins et d’illégaux présents sur notre sol dont le nombre continue de croître sans cesse.

L’islam : une idéologie politico-militaire pré-moyenâgeuse

Le principal problème avec l’islam, c’est que c’est à  la fois une religion, mais aussi un mode de vie, une loi, la Charia, un modèle politique, une organisation sociale et de gouvernement, contrairement aux autres religions.
Vouloir dire également que les groupes terroristes sont apparus simplement en claquant des doigts c’est aller vite en besogne et n’est qu’une simple vue de l’esprit. À l’origine, et je dis bien à l’origine, ces groupes ont été encouragés par un Occident en recherche d’expansion et de domination, voire même d’imposer ses idéaux de démocratie à des peuples qui n’en n’avaient ni la culture, ni l’envie, ni même les valeurs communes que nous partageons tous en Europe ou en Amérique. Ce n’est pas parce-que nous avons des valeurs, que celles-ci soient forcément universelles, tout dépendant de la culture du pays, de sa religion, et de son degré d’éducation. Ainsi, nos canons de valeurs démocratiques et de justice n’ont pas forcément le même écho à l’autre bout de la planète, et seuls ceux qui sont suffisamment proches idéologiquement sont susceptibles de les adopter. Or, le principal problème avec l’islam, c’est que c’est à  la fois une religion, mais aussi un mode de vie, une loi, la Charia, un modèle politique, une organisation sociale et de gouvernement, contrairement aux autres religions. Tous les aspects de la vie courante des musulmans sont régis par le coran, la Sunnah, les Hadiths… Et ne pas vouloir s’y conformer c’est s’opposer systématiquement à l’islam, dont, faut-il le rappeler, la signification première est la « soumission ». Et s’opposer à l’islam lorsque l’on est musulman, c’est encourir le risque de subir la Charia dans ses aspects les plus cruels et barbares (coups de fouets, amputation,  lapidation, crucifixion, décapitation…). Il faut bien le reconnaître, les règles de l’islam ont  été édictées afin de ne subir à aucun moment la critique et, celui qui s’y risque, le fait au péril de sa vie. Avant tout, l’islam est une idéologie politico-militaire pré-moyenâgeuse qui s’est servie de la religion à des fins d’expansion et de conquêtes. Quoi de plus beau et de meilleure stratégie que d’invoquer le divin, donc personnifier un Dieu nous enjoignant de nous battre pour asseoir son règne ? Si tous les terroristes islamiques sèment la terreur, c’est uniquement parce-qu’ils en ont reçu le commandement divin inscrit en lettres d’or dans leur « saint coran ». En cela, ils rejoignent, un peu dans un autre genre, les kamikazes japonais de la seconde guerre mondiale, prêts au sacrifice ultime, celui de leur vie, pour une idéologie, une nation, et là, il s’agit de nation islamique en l’occurrence. Les américains ont eu les plus grandes difficultés à vaincre le Japon tant le fanatisme fût poussé à son paroxysme, et la reddition ne s’est faite que par l’emploi d’armes de destructions massives avec les premières bombes atomiques… Il semble que l’islam, par analogie, utilise les mêmes moyens que les kamikazes, rendant très difficiles toutes les mesures pour lutter contre ses affidés. Par contre, ceux qui ne sont pas musulmans, comme nous l’avons vu précédemment, doivent être combattus sans relâche jusqu’à leur soumission à l’islam ou leur conquête par les armes. Quelques belles âmes interventionnistes ont cru bon vouloir aider ces groupes terroristes sous de fallacieux prétextes idéologiques. Il en a été ainsi lors de l’invasion de l’Afghanistan en 1979 par les troupes soviétiques alors que nous étions en pleine guerre froide avec le bloc communiste. Nous, occidentaux, n’avons rien de trouvé mieux que de financer les groupes radicaux islamiques qui voulaient bouter hors de leurs frontières un ennemi commun avec lequel il fallait s’allier. Il est de notoriété publique qu’au tout début de son existence Al-Qaïda a bénéficié du soutien à la fois logistique, militaire et financier des USA, de la CIA et des pétromonarchies du Golfe persique. Même Hilary Clinton le reconnaît et elle sait de quoi elle parle puisqu’elle a été non seulement Secrétaire d’État mais également la First Lady d’un ancien Président des États-Unis. Mais si, au départ, cette alliance de raison pouvait trouver une quelconque justification afin d’arrêter l’expansion du communisme à travers le monde et qui nous ont valu plusieurs conflits meurtriers (Corée, Vietnam, etc.), elle était contre-nature. Il fallait avant tout vaincre  l’« axe du mal » coûte que coûte, peu importe les moyens, les USA voulant sans doute venger leur humiliation du conflit vietnamien. Mais vouloir s’allier avec le diable c’est accepter de s’attabler avec lui et de manger à un moment ou à un autre sa soupe empoisonnée. Et c’est exactement ce qu’il s’est passé lors de la guerre d’Afghanistan. Certes, les troupes soviétiques ont payé un lourd tribut et ont dû se désengager face aux moudjahidines, laissant la voie libre aux talibans et autres tribus islamiques. Peu à peu, Al-Qaïda, qui a été formé à nos propres méthodes de combat et de renseignement, s’est détachée de l’Occident qui avait pour prétention de vouloir continuer sa présence en terre d’islam. Erreur fatale ! Nous avons enfanté un monstre qui s’est retourné contre l’Amérique et le monde occidental dans son intégralité parce-que nos valeurs, nos principes, nos modes de vie ne respectaient pas les valeurs de l’islam. Et ce monstre a retourné son arme contre son géniteur pendant près d’une vingtaine d’année avec des attentats plus meurtriers les uns que les autres mais dont le point d’orgue restera celui du 11 septembre 2001.

L’échec de l’interventionnisme occidental
L’interventionnisme occidental a pris des allures de déroute.
Présence en terres d’islam avez-vous dit ? Oui, les interventions occidentales tant lors de la première puis de la deuxième guerre en Irak ont été mal interprétées par le monde musulman qui y voyait une offense envers leur civilisation et leur croyance. Peu importe le prix à payer, mais il fallait mettre les croisés et les infidèles hors de ce pays, auquel s’est bien entendu rajouté l’Afghanistan où les États-Unis, suivis d’une coalition internationale, principalement française, britannique et canadienne, sont intervenus en octobre 2001 suite aux attentats meurtriers qui ont traumatisé l’Amérique et le monde entier pour lutter contre les talibans, alliés objectifs de Ben Laden où ce dernier avait trouvé refuge. Si au départ ces deux interventions militaires ont été couvertes de succès avec la maîtrise totale de l’espace aérien, la conquête sur le sol s’est avérée beaucoup plus problématique, mais il fallait, à tout prix pour les forces occidentales, chasser et punir les terroristes où qu’ils se trouvent. Peu à peu, au fil des mois, ces interventions ont pris l’allure d’une déroute pour ne pas dire d’une défaite tant l’hostilité des populations était flagrante, en dépit de faux-nez et prises de pouvoir par des ultra-modérés mis en place par les USA et ses alliés. Tant en Irak qu’en Afghanistan, la guerre civile continue de faire rage avec ses attentats journaliers contre le pouvoir, contre les soldats ou intérêts occidentaux mais également entre les différentes factions. Au final, aussi bien les USA que la France ou la Grande-Bretagne se sont désengagées, laissant derrière eux un goût plus qu’amer au regard des victimes mortes pour rien face à la résurgence du terrorisme islamique. Il est vrai que nous avons payé le prix fort sur place, mais, pis encore, nous avons attisé la haine de l’Occident en son entier, ces pays devenant le refuge de tous les terroristes de la planète avec leurs nombreux camps d’entraînement pour les apprentis djihadistes. Cette politique interventionniste à outrance a non seulement coûté cher en vies humaines, mais également en germes de foyers de contestation de suprématie des occidentaux dont le règne est arrivé à terme. Et l’islam conquérant à bien senti cette faille en s’y opposant à la fois militairement mais aussi idéologiquement.

Une politique étrangère de Gribouille
Partout où les forces musulmanes sont présentes, règne une atmosphère de guerre et de désolation.
Au prétexte fallacieux de vouloir instaurer des démocraties dans tout le monde arabe suite aux révolutions populaires, la France, mais aussi la Grande-Bretagne, épaulées en ce sens par les USA qui ne s’y sont pas engagés militairement, ont cru bon de soutenir les révoltes arabes contre les Ben Ali en Tunisie, Hosni Moubarak en Égypte, Mouammar Kadhafi en Lybie alors que nous nous accommodions fort bien de ces régimes autocratiques pendant des décennies. Nous voulions donner, de façon officielle, à ces pays des leçons de démocratie et instaurer d’autres régimes, quitte à s’allier, une fois de plus, avec le diable, que ce soient les mouvements salafistes, Ennahdha ou encore les Frères Musulmans. En ce qui concerne la Lybie, les raisons de l’interventionnisme de Sarkozy sont beaucoup plus obscures et une enquête pour un éventuel financement par le régime libyen de sa campagne électorale de 2008 est en cours parmi les 9 affaires, excusez du peu, où il est cité. Mais ce n’est pas la seule raison, les objectifs réels pourraient être également pétroliers, tant le régime de Kadhafi bouclait l’accès aux ressources de son pays à l’Occident si dépendant de l’or noir. Aussi, les raison humanitaires invoquées par Bernard Henry-Lévy n’ont été qu’un prétexte à cette intervention militaire contre le Colonel Kadhafi, pourtant reçu peu de temps avant en grandes pompes à l’Élysée…
Les conséquences de la mort de Kadhafi et du changement de régime en Lybie, mais aussi en Égypte et en Tunisie, ont été catastrophiques pour toute l’Afrique subsaharienne et même l’Afrique noire. En effet, ces tyrans avaient au moins le mérite de tenir leurs troupes et de contenir les djihadistes avec leur régime militaire fort. La guerre du Mali n’a été qu’une suite logique de la chute de ces régimes au fort accent militaire dont les armes se sont retrouvées disséminées dans tout le Sahara et même au-delà, aux mains de tous les terroristes de la nébuleuse d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI). Si nous voulions donner des armes à ces terroristes, nous ne pouvions pas mieux faire. Nous pourrions bien-entendu faire le même rapprochement avec le conflit ivoirien qui a visé à mettre en place un ami personnel de Sarkozy, le chef rebelle musulman Alassane Ouattara contre le chrétien Laurent Gbagbo alors président légitime. La suite de ces évènements a également et inévitablement conduit la République Centrafricaine à une guerre interconfessionnelle. Et cela c’est sans compter le Nigéria où les affrontements entre chrétiens et les terroristes de Boko Haram font rage avec des attaques incessantes  contre les églises et les chrétiens, toujours par volonté de suivre les commandements divins d’exterminer les mécréants. Partout où les forces musulmanes sont présentes, règne une atmosphère de guerre et de désolation. A l’heure où ces lignes sont écrites, pas moins de 24 911 attentats imputables à l’islam ont eu lieu depuis les attentats sanglants du 11 septembre 2001. Oui, vous avez bien lu, pas moins de 5 attentats par jour. Le pire c’est que la plupart des victimes de ces attentats sont les musulmans eux-mêmes pris dans la nasse de la violence inhérente à leur foi en un islam lui-même mortifère. La seule chose que l’islam semble aimer c’est la mort, le mot « aimer » n’apparaissant aucune fois dans le coran, contrairement aux mots « tuer, infidèles, mécréants, juifs, enfer, châtiment, etc. » qui sont légions.

Le ver islamique dans le fruit

Le monstre que l’Occident a enfanté s’est échappé et est devenu hors de contrôle.
Bien entendu, la situation s’est répétée dans tout le Machrek. Au prétexte de vouloir évincer Bachar el- Assad du pouvoir pour y instaurer la démocratie, mais une démocratie imposée par l’Occident, nous avons déclenché une véritable guerre civile. Or, les raisons profonde de ce coup d’état sont tout autres et relèvent également de la lutte d’influence dans la région et de questions géostratégiques. Il n’est fait mystère à personne que la Syrie était l’alliée stratégique de la Russie dans la région et faisait contrepoids à la fois à la Turquie, l’Arabie Saoudite et l’Irak, tous sous férule des USA. Avouez que cela faisait quand même un peu tâche, non ? Donc, là aussi, il fallait, virer les russes de la région, quel qu’en soit le prix à payer. Nous pouvons donc remercier tant Sarkozy, que Hollande, Merkel, Obama, Cameron d’avoir soutenu cette rébellion qui a mené le pays à la ruine, à la scission et à l’exode massif de tous les chrétiens de la région qui étaient si bien, trop bien défendus par le pseudo-dictateur Al Assad. Au début de l’insurrection le régime de Damas y a laissé quelques plumes avec la perte d’un grand pan entier de son territoire sous les coups de boutoir de démocrates aveugles qui n’ont rien trouvé de mieux que de s’allier à un tout nouveau mouvement, l’État islamique en Irak et au Levant  devenu par la suite EI ou ISIS en anglais pour finir par être désigné par le vocable « Daesh ». Or, c’était sans compter que le régime syrien continuait d’avoir le soutien en sous-main de la Russie et que son armée était l’une des mieux organisée et puissante de la région. Peu à peu, le mouvement de reconquête s’amorça. Il fallait donc continuer de soutenir les islamistes coûte que coûte, en y envoyant non seulement des armes, mais aussi des conseillers militaires, une aide logistique et de renseignement. Or, là aussi, le monstre que l’Occident a enfanté s’est échappé et est devenu hors de contrôle. L’État islamique ne s’est pas contenté de ses conquêtes en Syrie mais son emprise s’est étendue en Irak avec la prise de puits pétroliers qui lui ont assuré un immense trésor de guerre estimé à plus de 2 milliards. Très vite, les jeunes musulmans, en mal d’identité dans nos pays européens, se sont identifiées à ce mouvement et se sont enrôlés dans cette nouvelle organisation terroriste qui a pris l’allure d’un nouvel État dans la région tant les régions qu’il contrôle sont immenses. Un nouvel état est donc né, mais un état terroriste prêt à en découdre avec l’Europe, les USA mais aussi ses voisins dans la région afin de créer un nouveau califat mondial. Nos chers musulmans, si calmes et pacifiques de nos banlieues, sont partis non seulement pour faire la guerre en Syrie ou en Irak, mais non content de cela, se sont formés, entraînés aux techniques de guerre qu’ils avaient ordre d’exporter vers les pays où ils avaient grandi pour y établir la religion de paix comme seule référence morale. Très vite, des attentats ou tentatives d’attentats ont eu lieu en différents points d’Europe, mais arriver à les contenir tous va relever d’une gageure tant le nombre de djihadistes auxquels nous devons faire face est important. Bien entendu, la classe médiatico-politique a fortement minoré le nombre de ces combattants partis faire le djihad, dans un rapport de 1 à 4, mais, pis encore, le nombre potentiel de candidats dans nos cités prend l’allure d’une véritable armée de l’ombre. Et ils sont tous prêts à mourir pour l’avènement d’un régime islamique chez nous, puisque c’est une prescription coranique. Pas moins de 125 000 personnes sont prêtes à faire la guerre à notre pays, et encore, il ne s’agit que d’une estimation basse… Et la situation est identique chez tous nos voisins européens, Belgique, Pays-Bas, Allemagne, Royaume-Uni en tête… Cela, c’est bien entendu sans compter tous les sympathisants qui se réjouissent de voir la République vaciller. La France a découvert, horrifiée,  lors d’un sondage que 16 % de sa population avouait avoir de la sympathie pour l’État islamique, soit pas moins de 10,5 millions de personnes… Oui, nous continuons d’affirmer que les véritables responsables de la création de cet état islamique ne sont que nos propres dirigeants aveuglés par leur suivisme de la nouvelle stratégie de l’administration Obama engagée dans une politique d’hégémonie à la fois stupide et dangereuse.

Obama, meilleur allié des musulmans
"Le futur ne doit pas appartenir à ceux qui diffament le prophète de l'islam." Obama
Avec un frère haut dignitaire des frères musulmans, l’appartenance d’Obama à l’Oumma, la communauté musulmane mondiale, devient une évidence.
Attardons-nous quelque peu sur le Président des USA, Obama. Ce dernier s’est toujours défendu d’être un musulman, or, de nombreux faits viennent contredire ses déclarations publiques. Il n’est fait mystère à personne qu’il a grandi en Indonésie dans sa famille d’adoption et qu’il a suivi un enseignement coranique, premier point. Mais, ce n’est pas tout, loin s’en faut ! Obama porte toujours une mystérieuse bague, et, selon des gros plans, il s’avère que cette bague n’est pas celle que l’on va acheter chez le marchand du coin puisque figurent dessus des inscriptions en arabe qui ne sont pas moins que la profession de foi de l’islam, la Chahada…
Voir cette vidéo non téléchargeable en anglais :
Aurait-il prêté allégeance à cette religion que cela ne serait pas surprenant. Autre fait et non des moindres, son fameux discours du Caire du 4 juin 2009. Pour ceux qui douteraient encore quelque peu de son appartenance au monde musulman, il ne fait dès lors plus l’ombre d’un doute de son appartenance à l’Oumma, la communauté musulmane mondiale, qu’il avoua lors de cette conférence.
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Au vu de ces évènements l’on comprend d’autant mieux son rôle lors des révolutions arabes à soutenir les Frères Musulmans, d’autant  plus que son frère, Malik, en est l’un des hauts dignitaires… Notre lanterne s’éclaire également beaucoup mieux dans sa volonté à nuire à Israël en continuant de soutenir les palestiniens et de faire tout son possible pour éviter à l’Iran d’être mise au ban des nations et de ralentir les sanctions de manière à ce que l’Iran ait le temps de  mettre au point l’arme atomique…  Vous devinerez bien entendu contre qui seront tournés les missiles à têtes nucléaires, Israël tout d’abord, puis l’Occident ensuite. Voilà un conflit au Moyen-Orient qui semble bien mal engagé pour nos pays… Et devenez un peu qui a porté au pouvoir ces (ir)-responsables politiques ? Vous et moi, nous tous… Si, si, nous avions même applaudi l’élection d’un candidat noir à la tête des USA, le problème n’étant pas sa race mais bel et bien son appartenance idéologique.

Politique de l’autruche : la lâcheté des élus

Les élus sont soucieux de plaire au nouvel électorat musulman qui maintenant pèse de plus en plus lourd dans les résultats électoraux.
Et que pouvons-nous opposer aux islamistes ? Rien ou pas grand-chose, notre armée est dans une telle situation de décrépitude, qu’elle souffre de sous-effectifs chroniques et de matériel vieillissant et à bout de souffle. Même situation dans la police et la gendarmerie où les effectifs sont complètement démoralisés.
Mais croyez-vous que cette responsabilité de nos hommes politiques, toutes tendances confondues, se limite à nos quelques chefs de partis ou députés ? Bien sûr que non ! Où sont donc tous ces maires et leurs conseillers municipaux qui ont accordés des baux emphytéotiques, conférant aux locataires une quasi-propriété de longue durée, et de façon purement gratuite à la construction des quelques 2400 mosquées qui ont fleuri en France au rythme de 2 nouvelles inaugurations en plus chaque semaine ? Se sont-ils simplement interrogés sur la légalité de l’octroi de ces baux, la France étant laïque depuis la loi de séparation de l’Église et de l’État depuis 1905 ? Oui, mais cela ne prévaut que pour le christianisme, pas pour l’islam qu’il ne faut surtout pas discriminer. Nos élus locaux ont une lourde, très lourde responsabilité devant cette avancée à pas de géant de l’islam dans nos villes et même villages, tant ils sont soucieux de plaire au nouvel électorat musulman qui maintenant pèse de plus en plus lourd dans les résultats électoraux. Tout cela dans le but peu avouable de se faire élire ou réélire… avec l’aide des nouveaux électeurs musulmans pour quelques prébendes dont seule leur caste est bénéficiaire ! Alors, de grâce, ne parlez pas d’islam à nos maires dans leur immense majorité, eux non plus ne veulent pas « stigmatiser ». Mais ces chers élus, se sont-ils une seule fois posée la question du financement des mosquées par les pétro-monarques avides de puissance et de domination ? Non, pas une seule fois. Et se sont-ils également préoccupés du principe de la réciprocité, c’est-à-dire la possibilité aux chrétiens, juifs, bouddhistes de pouvoir ériger leurs lieux de culte en terre d’islam ? Pas une seule fois. Et pourtant, la présence de tout non musulman sur les lieux « saints » de l’islam que sont Médine et La Mecque est non seulement prohibée mais passible de la peine de mort, rien que ça ! Alors, la construction de temples, synagogues ou églises, n’y pensez même pas ! Est-ce cela la volonté de cette religion de tolérance de vouloir s’intégrer dans notre pays alors qu’elle-même est parfaitement intolérante envers tous les « non-croyants » au sens islamique du terme ? Est-il interdit pour autant à un musulman d’aller à Rome, Lourdes, Jérusalem, Lhassa  Lumbini ou encore Bénarès ? Bien sûr que non ! Les mosquées sont devenues le repaire de tous les fondamentalistes instrumentalisés par les puissances arabes étrangères puisqu’elles en assurent le financement.  Une fois de plus, nous sommes tous responsables d’avoir mis à la tête de nos villes ces maires qui n’ont fait que construire le lit de l’islam au sein de notre pays et au travers d’eux, l’avènement des terroristes islamiques.

Liberté, liberté chérie

Sur des fondements pré-moyenâgeux et aux antipodes de nos sociétés modernes, l’islam ne supporte pas la liberté d’expression et encore moins la moquerie.
L’un des aspects rarement exploités dans le domaine de la terreur est sans nul doute celui de la liberté d’expression. Et pourtant, la France était l’un des fers de lance lors du siècle des lumières (18ème siècle) pour amener la population à la connaissance et lutter contre l’obscurantisme ambiant. N’est-ce pas Voltaire qui disait, au nom de la liberté d’expression qu’il chérissait plus que tout : « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire » ? Quelle belle leçon de démocratie et de respect d’autrui dont devraient s’inspirer nos élites qui, manifestement, ont une vision bien tronquée de l’Histoire. La suite, on la connait… Cette volonté absolue de liberté de s’exprimer et de pouvoir disposer de lui-même lors de la Révolution Française, le peuple en a fait un instrument de torture sous le régime de la Terreur qui s’en est suivi. Près de 5 % de la population a payé du prix de sa vie cette folie meurtrière pendant la période révolutionnaire. Or, la liberté d’expression a un prix, celui de laisser s’exprimer des propos ou des croyances opposées aux nôtres et qui peuvent heurter ou choquer profondément notre propre sensibilité, y compris religieuse. Les seules limites de la liberté d’expression doivent avoir trait au respect du droit le plus sacré, celui à la vie de tout individu. Ainsi, seuls les appels au meurtre, au génocide, au terrorisme, à la guerre si elle n’est pas justifiée par une raison d’État à la préservation de sa propre souveraineté, ainsi que la destruction de l’État doivent trouver une limite par une condamnation sans réserve, y compris législative. Pour ce dernier point, par destruction de l’État, il faut le définir en proclamant la violence et le recours aux armes dans le seul but d’y amener la terreur et l’anarchie et non par le simple changement de régime ou de Constitution par voie démocratique. Le peuple est en droit de destituer un régime si ce dernier ne respecte pas le droit fondamental des peuples à disposer d’eux-mêmes ou à agir de façon despotique comme nous le rappelle l’Article 35 de la Déclaration des droits de l’Homme de 1793. Or, l’islam ne supporte pas la liberté d’expression et encore moins la moquerie. Quiconque s’y hasarde, le fait au péril de sa vie. Depuis plus de 40 ans, il y a une volonté manifeste de destruction de nos libertés d’expression, de museler le citoyen et de criminaliser sa pensée au travers des lois liberticides Pleven, Gayssot, Taubira, Hadopi et autres lois antiterroristes dont les plus récentes veulent se calquer sur le fameux « Patriot Act » à l’américaine pour mieux nous pister, nous espionner jusque dans nos vies privées. Et pourtant, nous serions bien inspirés de nous conformer au Premier Amendement de la Constitution américaine qui protège la liberté d’expression. Vouloir la limiter, c’est donner autant d’armes à tous les terroristes islamiques et autres fous d’Allah qui, au prétexte de blasphème envers leur religion, de critiques qu’ils ne supportent tout simplement pas, considérant que leur religion est au-dessus des autres et de ce fait inattaquable, sautent sur les faiblesses de nos démocraties pour imposer un peu plus de terreur en faisant du lobbying afin de promulguer des lois toujours plus restrictives quant à notre liberté de parole et d’expression. Réintroduire le délit de blasphème est une arme à  double tranchant. Certes, plus aucune atteinte ne pourrait être faite au Christianisme (l’affaire Piss Christ, le Pape qui sodomise un enfant...), au judaïsme ou d’autres religions, mais cela inclus également l’islam. Ainsi, toute déclaration, tout texte, tout écrit qui viendrait s’exprimer pour dénoncer la barbarie des fondements de l’islam ou des auteurs d’actes hautement répréhensibles comme le sont les attentats ou les décapitations au nom de l’islam, seraient purement et simplement interdits et condamnés par voie de justice. Parfois il faut savoir accepter la critique, pour en revenir à Voltaire, et même les choses qui peuvent nous choquer profondément d’un point de vue religieux afin de préserver nos propres droits à pouvoir répliquer par la plume en ridiculisant nos détracteurs. Le refuser, c’est accepter implicitement à l’islam le droit de nous détruire idéologiquement en nous déniant celui de pouvoir nous exprimer. Eh oui, le terrorisme islamique a plusieurs visages, et celui de la pensée n’en n’est pas le moindre car il en est le bras armé idéologique. Et nos gouvernants, tous plus lâches et veules les uns que les autres, cèdent sous le poids de la peur et de la terreur de la pensée islamique dont les fondements sont pré-moyenâgeux et aux antipodes de nos sociétés modernes.

Islamo-lucidité

« L'islam, cette théologie absurde d'un bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies » (Mustapha Kemal Atatürk)
Qu’il semble bien loin le temps des Nasser qui, devant toute une assemblée en 1953, se moquait éperdument des Frères Musulmans et de la société rétrograde qu’ils voulaient imposer en rendant le port du voile islamique obligatoire. Oui, qu’il semble bien loin le temps des Mustafa Kemal Pacha Atatürk, père de la Turquie moderne, qui déclarait « l'islam, cette théologie absurde d'un bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies » (Mustapha Kemal Atatürk ou la mort d’un empire), ou encore « Vous venez me parler des avantages que nous a valu notre conversion à l'islam, et moi je vous dis : regardez ce qu'elle nous a couté ! » (Mustapha Kemal ou la mort d’un empire, Jacques Benoist-Méchin, éditions Albin Michel 1954, page 326).
À ce sujet, puisque l’on nous parle sans arrêt de progrès et de science de la société islamique qui ne représente pas moins de 23 % de la population mondiale, de combien de prix Nobel peut-elle se targuer depuis la création de son institution en 1901 ? Seulement 6, dont 4 pour la Paix, sic. Dans le même temps, les juifs qui ne représentent que 0,17 % de la population mondiale, raflent plus de 20 % des prix. Sans doute est-ce là encore l’œuvre du méchant complot sioniste, n’est-ce pas ? Alors, Monsieur Sarkozy, de qui vous moquez-vous lorsque, lors de la pose de la première pierre des nouvelles salles des arts de l’islam au Louvre, vous déclariez : « L’islam, c’est le progrès, la science et la modernité » ? Sans nul doute, comme tous les autres politiques, aviez-vous oublié de réviser vos classiques. Et pourtant, nombre de penseurs et toute une pléiade d’hommes d’État dénonçaient les méfaits de l’islam à l’instar des Chateaubriand, Condorcet, Arthur Schopenhauer, Alexis de Tocqueville, Winston Churchill, Charles de Gaulle, Alfred de Vigny, Bossuet, André Malraux, ou encore St Thomas d’Aquin et j’en passe. Nous pouvons dès lors nous interroger sur le manque de culture et de réflexion de ceux qui nous gouvernent tant leurs actions vont à contresens de la plus élémentaire morale. Nous ne pouvons plus parler alors d’islamophobie dans le sens dévoyé actuel mais plutôt d’islamo-lucidité, car ces philosophes, avant de se prononcer sur la question, ont étudié l’islam et ses travers qui appellent à la sempiternelle violence qui détaxe tous les terroristes islamiques puisqu’ils en ont l’injonction divine. Il faut dire qu’en matière d’exemple ils sont à bonne école puisque leur pseudo-prophète Mahomet ne se privait pas d’utiliser le sabre lors de ses conquêtes et d’exterminer tous ses opposants. Le massacre de la tribu juive des Banu Qurayza de Médine n’en est que la plus sinistre illustration en l’an 627. Il devient dès lors évident qu’il y a un problème d’identification manifeste des terroristes envers Mahomet qui n’était pas un saint, loin s’en faut si l’on en juge par les massacres et autres exactions qu’il a perpétrés.

Bientôt la France sera la colonie de ses anciennes colonies

Bertolt Brecht : «  Si le peuple ne vous convient pas, changez le peuple ».
C’est exactement ce qui est en train d’arriver…
Nous devons toujours avoir à l’esprit ce que proclamait l’un des pères fondateurs des USA, Thomas Jefferson, à savoir que « le prix de la liberté, notre liberté, c'est la vigilance éternelle », surtout envers un islam conquérant qui impose peu à peu son obscurantisme. Comme nous l’avons vu, le refus de se réformer et d’abroger les versets meurtriers sont autant de haine dont s’abreuvent les terroristes jusqu’au sang dans les fondements mêmes de cette idéologie. Il est malheureusement à redouter que la théorie du « choc des civilisations » si chère à Samuel Huntington ne s’avère prophétique et que nous soyons à l’aube d’un conflit à l’échelle de la planète. Mais c’est bien connu, l’Histoire n’est qu’un perpétuel recommencement. Déjà Aristote (Politique, Livre V) nous relatait que « l’absence de communauté nationale est un facteur de guerre civile, tant que les citoyens ne partagent pas les mêmes valeurs de civilisation. Une cité ne se forme pas à  partir de gens pris au hasard, et elle a besoin de temps pour se coaguler. C’est pourquoi, parmi ceux qui ont accepté des étrangers pour fonder une cité avec eux, et pour les intégrer à la cité, la plupart ont connu des guerres civiles. Par exemple, les tyrans de Syracuse, en ayant naturalisé les immigrés, ont dû subir des révoltes. Citoyens et étrangers en sont venus à se combattre ».
Et nous y sommes en raison de la cécité persistante de nos élites. Le prix de leur inconséquence et de leur volonté de museler le peuple en sera celui du sang d’innocents… À croire qu’ils ont adopté la stratégie stalinienne de Bertolt Brecht : «  Si le peuple ne vous convient pas, changez le peuple ». Beau programme en perspective ! Et nous tous sommes responsables de les avoir mis aux manettes du pouvoir et de leur avoir renouvelé notre confiance. Est-ce une forme de suicide inconscient programmé ? Assurément si l’on en croit le philosophe historien Arnold Joseph Toynbee qui, prophétiquement, nous disait : « Les civilisations ne meurent pas assassinées. Elles se suicident ».
Nous sommes donc, nous seuls, responsables de cette immense tragédie mais également les acteurs dramatiques. Nous voilà au moins prévenus et seule la vigilance face à ces théories rétrogrades dont se repaissent les terroristes sur notre sol nous permettra de réagir avec lucidité et discernement. Dans le cas contraire, le mot de la fin revient à Vladimir Poutine : « Bientôt la France sera la colonie de ses anciennes colonies. »n

Surcouf, le corsaire de la République

La décadence

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