samedi 27 septembre 2014

HORREUR… MALHEUR… Ah !… Vos cris d’orfraie ne trompent plus personne ! par NOBELINE

Enfants européens massacrés par le FLN en Algérie
C
es derniers jours, deux journalistes américains et un touriste français ont été décapités par des barbares musulmans appelés djihadistes et les politiques français crient à l’assassin comme s’il s’agissait d’une toute première fois.
Le très socialiste président leur ouvrant la voie de son laïus à la Caliméro, depuis New York où, très précisément, il rencontre… des chefs d’états soupçonnés d’y être impliqués pleinement.
Cessez donc ces simagrées qui nous indisposent, messieurs. Les gouvernants français savent. La France diplomatique SAIT.
Voilà soixante ans qu’elle a été confrontée à cette même barbarie et elle ne s’en est pas offusquée, pour autant. Au contraire. Elle a multiplié, depuis, les actes inconsidérés qui ont amené les Français à vivre dans l’insécurité perpétuelle même sur le sol de la Mère Patrie.¢


Certes, on se demande pourquoi ce guide français du haut pays niçois est allé se perdre dans les contrées kabyles qui, plus personne ne l’ignore, ont été le tout premier théâtre des crimes barbares et antifrançais en Algérie.
Pensait-il qu’à soixante ans de distance, leur opinion envers un Occidental, Français et chrétien de surcroît, pouvait avoir fléchi ?

C’est, en tout cas, ce que les bienpensants de notre pays s’échinent à faire croire à nos compatriotes. Aidés, en cela, par ceux qui appliquent la politique arabe de la France qui perdure depuis ce cher général.

Ô Français ! Comme votre jugement est puéril. La vie serait-elle faite, selon vous, de bonbons et de caramels mous ? Mais quand, donc, ouvrirez-vous les yeux tout grands ?

Faut-il vous rappeler les précédents - si proches, cependant - qui ont jalonné la vie de ces Français qui, dans les larmes et le sang, tentaient de sauver leur vie pendant que vous ne pensiez qu’à vous débarrasser « de l’affaire algérienne » sans en chercher vraiment la solution ni entrevoir les conséquences.

La barbarie ? Elle était là et vous avez fermé les yeux.

Parce que vos dirigeants, de  gauche, d’abord et de gaulle, ensuite, vous ont convaincu qu’il n’y avait pas de barbarie. 

Parce qu’ils vous ont dit que ces « rebelles » menaient un juste combat. Hier, c’étaient des rebelles, aujourd’hui, ils les appellent djihadistes mais ne vous y trompez pas. Ce sont les mêmes !

Parce qu’enfin, ils ont décidé de taire ces crimes, une fois pour toutes et de vous laisser dans l’ignorance afin que vous ne les jugiez point.

Et, aujourd’hui, ces bienpensants de l’humanité, ces démocrates à sens unique, hurlent à l’assassin parce qu’un Français a été décapité alors qu’il faisait du tourisme en Algérie…

Un petit retour en arrière s’avère indispensable, Messieurs Hollande, Fillon, de Villepin et consorts - la liste des amnésiques est tellement longue. Rappelez-vous ! Ne dites surtout pas que vous ne saviez pas ! C’était la France. Notre France.


Le 20 août 1955, qui restera dans l’Histoire  comme « La nuit des longs couteaux », le massacre d’El Halia faisait plus de 60 morts, égorgés, éviscérés, dont plusieurs enfants âgés de quelques mois à 7 ans.



Et, sept longues années plus tard, pendant lesquelles la France a vécu au rythme des barbaries innommables tenues secrètes par les gouvernants de l’époque et par ceux d’aujourd’hui, encore, il y a eu le bouquet final. L’apothéose.

Si le 5 juillet 1962, comme l’affirment chaque jour, depuis lors, les politiques véreux  qui nous dirigent, la France n’avait plus aucun pouvoir en Algérie, je vous conseille de lire ou de relire le témoignage du Père Michel de Laparre, aujourd’hui décédé, qui rapporte les exactions barbares commises par les algériens indépendants sur vos compatriotes français de souche européenne.

Nous ne publierons, ici, que certains passages du livre décrivant tout au long de ses 255 pages, les barbaries d’alors et, pourtant, si semblables à celles qui vous émeuvent tant commises par les djihadistes d’aujourd’hui.

Dans son livre il écrit :

« On ne saura jamais tous les excès de cette journée. »

« Non, je parle seulement du 5 juillet 1962. »

« Les gens se sont armés sans se cacher. Et quand, vers midi, la tuerie commence place Foch et dans les grandes artères, d’un même geste, les mauresques tirent leurs couteaux de leurs costumes de fête pour égorger, torturer et dépecer les clientes des boutiques de la rue de la Bastille. »

« Des enfants ont été ficelés dans des sacs de pommes de terre, jetés sur la chaussée, écrasés par des camions ou aplatis contre des murs. »

« Je connais un homme à qui les mauresques ont arraché les joues par lambeaux avec les dents pour les manger. Il n’est pas beau, mais il vit toujours. Il était ouvrier tôlier. »

« Des français furent étouffés dans des fours, gelés dans des frigidaires, crochetés aux abattoirs, vendus dans des boucheries, sciés dans des menuiseries, découpés et mangés par des mauresques arborant des ceintures de peaux. »

« Au Petit-Lac, même, (ndlr : quartier périphérique au sud d’Oran) eurent lieu de nombreuses exécutions. Des familles entières qui passaient en voiture à proximité furent décapitées à la hache sur des billots. Un musulman qui habitait là, m’a dit avoir  dénombré le lendemain,  trois convois de douze camions remplis de cadavres qu’on a déversés là. »

« M. X… est à la fois instituteur et étudiant en médecine. Ses élèves musulmans ayant su récemment qu’il avait besoin d’un crâne pour ses cours d’anatomie, lui en ont apporté un. « Il y en a des dizaines au Petit-Lac » lui ont-ils indiqué. »

« Durant cette journée de honte, beaucoup d’amis très chers ont disparu à jamais, dont notamment, nos amis Breuilh, père et mère de sept enfants (l’aîné douze ans et demi, la dernière un an et demi). »

Fin de citation


Pour ceux qui seraient encore sceptiques ou pire, obtus, rappelons l’assassinat « des moines de Tibhirine », en 1996, affaire dont on reparle, aujourd’hui, après 14 ans de silence complice, tant des autorités algériennes que françaises. Ces moines français établis dans un monastère près de Médéa, kidnappés et exécutés dont on n’a retrouvé que les corps décapités.

Bien entendu, nous ne pouvons pas détailler tous les crimes barbares commis par cette engeance trop répandue, aujourd’hui, de par le monde.

Mais de grâce, Messieurs ! Ne jouez plus les vierges effarouchées. Ne vous donnez plus en spectacle. Laissez aux comédiens le rôle de pousser la chansonnette de l’horreur et du malheur !

Et demandez-vous, plutôt, ce que vous avez fait – ou pas – pour que l’on subisse, encore, ces horreurs.¢

Lire en ligne : « Les moines de Tibhirine »

La décadence

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