Du bas de ses trois
pommes de deux pour cent aux élections Cécile Duflot se prend pour le Petit
Père Combes. Elle cherche à jeter, par un effet d’annonce, le discrédit sur l’Église
de France.
Au
passage elle insulte la mémoire de l’abbé Pierre et de sœur Emmanuelle qui,
dans l’Église, ont fait pour les pauvres plus qu elle ne fera jamais avec son
culot médiatique d’écolo bobo bien au chaud.
Comme
si l’église avait attendu la menace de réquisition pour organiser l’accueil des
sans-abris. Madame Peppone est comique dans sa tentative indigne de salir les
bonnes volontés discrètes qui dans le cadre « d’hiver solidaire », du
« Corref », de « l’association des cités du secours
catholique » œuvrent pour héberger les sans-abris.
Les catholiques en ont
ras-le-bol de ces vieilleries du bigotisme d’extrême gauche qui accepte que la
CGT possède des châteaux inoccupés sans dire un mot et s’acharne exclusivement
sur l’Église dont le fondateur fut le premier sans logis de l’Histoire. Ce
ministre de la discorde religieuse devrait être délogé de son ministère et
aller coucher sous les ponts de la partisanerie imbécile.
Il
serait temps que les catholiques de France se réveillent, notamment dans leur
hiérarchie peureuse, pour que cessent les attaques idéologiques. Ce coup bas est
l’une des armes utilisées par la propagande verte dans le débat tronqué sur le
mariage gay auquel l’église s’oppose lucidement. Cela s’appelle l’argument ad
hominem. On cherche par tous les moyens à discréditer l’adversaire pour réduire
la portée morale de son message. Madame Peppone a raté son coup.
Si Hollande était un
vrai président, il devrait lui sonner les cloches et l’envoyer crécher ailleurs
par respect pour tous les catholiques insultés.
Si Paris ne vaut plus
une messe, la concorde vaut bien un ministre. À la rue, Duflot !