samedi 17 novembre 2012

Halte à l’invasion - par Franck Dupont


12 millions d’étrangers et fils d’étrangers occupent la France depuis maintenant 40 ans. Leur provenance, souvent d’origine magrébo-africaine ne peut que nous sauter aux yeux. L’étrangeté, c’est que pour les hautes instances « vérolant le système », l’immigration n’a pas augmenté, et seul le fantasme alimente la peur.
Je me suis promené à Barbès, comme ont pu le faire les journalistes russes ou israéliens, et je dois bien avouer, avoir trouvé peu de mes congénères de type blanc et français.
Il ne me dérange pas d’avoir des gens de couleur ou de mœurs différents des miennes, mais il me gêne plus de devoir penser que ces personnes ne constituent que les prémices d’une invasion beaucoup moins pacifique, une fois qu’ils seront majoritaires.


Le terme invasion ne doit pas vous choquer, il accompagne généralement les vainqueurs d’un conflit guerrier qui, fort de sa victoire, va pouvoir imposer ses codes et règles aux peuples soumis. Dans le cas présent, ce n’est pas par la force et le droit que nous autres Français de souche, voyons notre art de vivre et nos lois reculer, mais par la loi du nombre  donc de la démographie, par le remplacement du droit par les us et coutumes de ces peuples, par le recul  et l’exil des populations de souche française ne pouvant s’accommoder des nouveaux arrivants et par la collaboration des hommes de pouvoir.  Si vous n’êtes pas d’accord avec mes propos, promenez-vous donc dans certains quartiers. L’accueil vous y surprendra. Nous n’y sommes vraiment plus chez nous.

Maintenant, analysons brièvement les causes d’un tel déracinement de notre peuple et de ses mœurs et posons-nous la question : que reste-t-il de notre culture et de notre identité. La France, comme toute l’Europe, se sont forgées sur le christianisme et la royauté. 1789 et les deux siècles qui ont suivi, ont détruit le socle de ce qui a pu faire notre cohésion. Les trente glorieuses, après deux guerres mondiales tragiques, ont vu l’éclosion du tout loisir et du tout consumérisme. La famille a volé en éclat, on en voit aujourd’hui le prolongement avec le mariage homosexuel, et l’individualisme a entrainé la division, « diviser pour mieux régner, ça vous rappelle quelque chose ».

Les conséquences de l’individualisme et du tout pour soi sont, entre autre  le refus de faire des enfants. Combien de fois entends-je ; pourquoi m’embêter à faire des enfants, je veux profiter. Mais profiter de quoi, des loisirs, de la chair ; travailler toujours plus pour se faire plaisir. La conséquence inéluctable que nous vivons depuis une génération, c’est bien la dénatalité. On ne pourrait  en ce cas que s’en prendre à nous même, mais peut-être  devrions-nous nous en prendre plus à la philosophie ultra-libérale qui a fait de nous ce que nous sommes et qui nous a encouragés dans cette voie. Rien n’est le fruit du hasard.

Devant un tel vide et un tel délabrement de nos valeurs, les populations qui croient en autre chose que la monnaie et le confort et qui sont pauvres, ne peuvent que se servir des ponts qui leur sont construits pour remplir la vacuité de notre société. Demain, vu le nombre des entrées d’immigrés en France, nous populations Françaises, dont le sang de nos aïeux a tant coulé pour nous donner, ce qui va finalement causer notre perte, regretterons de n’avoir pas réagi à temps.

Réagir contre quoi ; me direz-vous, voilà 40 ans, que nos gouvernements nous inondent d’arrivées migratoires successives, pour créer une belle société multiculturelle et tolérante.

Moi, je vous dirai que nous pouvons réagir en demandant à nos élites corrompues, pourquoi elles laissent rentrer 300000 personnes par an, alors que 20% de la population est au chômage. Ces étrangers ne créent pas de richesses, quand ils travaillent, c’est de manière non déclarée. Beaucoup ne travaillent pas. J’ai fait une expérience pendant six mois corroborant mes dires. Le matin, j’allais observer en gare les populations montant sur Paris pour y travailler, et j’y constatais que peu d’étrangers y étaient représentés. Le soir, me rendant à Paris, vers 17 :00, je faisais partie des rares Français dans le train. Et si je ne m’abuse, je ne pense pas que le soir on travaille plus que le jour. Alors pourquoi toujours plus, alors qu’ils ne travaillent,  pas rapport à leur nombre,  que la situation économique en France ne s’arrangera pas et qu’en conséquence ils ne paieront pas nos retraites. Tout simplement, parce que leurs mœurs et leur esprit conquérant entrainera tôt ou tard un conflit au sein de la nation française et engendrera alors « ce choc de compétitivité tant souhaité par nos gouvernants ». Chaque conflit est suivi d’une croissance vigoureuse. C’est peut-être la solution ultime, murement réfléchie par nos élites pour relancer l’économie et permettre d’éliminer un certain poids d’improductifs. L’économie n’a jamais fait dans l’humanité.

Quand un tel scénario se produira, qui pourrons  nous blâmer. Sans hésitation, des gouvernants collaborateurs à l’extinction de leur propre peuple, et si nous vainquons, nous pourrons demander leur comparution devant un tribunal républicain pour haute trahison. Comme je suis républicain, je leur laisserai une chance de se défendre mais suis convaincu que ce tribunal les condamnera à la plus haute peine, je ne suis pas un abolitionniste de la peine de mort.

Que pouvons-nous faire d’autre pour lutter. Fantasmons un peu : demandons la dissolution des groupes gouvernementaux antiracistes, qui sont bien trop connus pour être cités, et qui touchent de substantielles indemnités. Exigeons la dissolution des partis politiques pro-immigration et pro-mondialistes, collaborateurs à un ordre nouveau, dont une grande majorité  de la population française ne veut pas. Soutenons les flics massacrés ou victimes de guet-apens en descendant en masse dans la rue pour demander justice. Demandons compte à une justice qui a pris fait et cause pour les coupables. Organisons des pétitions pour refuser le paiement de l’impôt si celui-ci sert à financer l’immigration massive entrainant de fait une entorse aux critères budgétaires européens. Allons jusqu’à saisir la cour européenne de justice et demandons lui de trancher entre le principe d’équilibre budgétaire et le devoir d’accueil, qui par son coût vient entraver le premier principe. Quel principe prévaudra ?

Revenons aux bases de notre société que sont la famille traditionnelle. En un mot, opérons une révolution de nos mœurs et n’acceptons pas l’ordre que l’on nous impose. Soyons des hommes et des femmes libres, fiers de nos valeurs et surs de notre civilisation et de notre pays. Ceux des étrangers qui partagent les valeurs de la France sont les bienvenus, je le répète, la provenance des uns et des autres ne me pose aucun problème.

Voilà un peu de fantasme, à nous de le transformer.

Français, Françaises, trouvez tous les moyens légaux de lutter contre cette invasion destructrice et quand le moment sera venu, ou vous ne pourrez plus tolérer l’intolérable, alors vous devrez utiliser d’autres moyens, l’insubordination et  la révolution, la résistance à l’oppression, mais ce n’est pas encore à l’ordre du jour. En attendant, faites des enfants pour que notre peuple ne meurt pas.

Ou acceptons de disparaître.

La décadence

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